Un engin biplace entre dans la course au tourisme spatial
Page 1 sur 1
Un engin biplace entre dans la course au tourisme spatial
BEVERLY HILLS (AFP) - Une entreprise américaine a annoncé mercredi qu'elle rejoignait la course au tourisme spatial avec un engin biplace capable de se propulser aux limites de l'atmosphère par ses propres moyens et qui pourrait à terme effectuer jusqu'à quatre vols par jour.
Le "Lynx" devrait réaliser son premier vol d'essai en 2010 et des rotations commerciales environ deux ans plus tard si le programme avance comme prévu, a indiqué Jeff Greason, PDG de la société XCOR Aerospace basée en Californie (ouest) lors d'une conférence de presse à Beverly Hills, près de Los Angeles.
De la forme d'une navette spatiale et plus petit qu'un jet d'affaires, cet appareil qui n'existe encore que sur plans "décolle et atterrit comme un avion, en utilisant uniquement son moteur-fusée", a fait valoir M. Greason. Ce moteur développé par XCOR depuis 1999 fonctionne à l'oxygène liquide et au kérosène.
Le "Lynx" atteint une vitesse ascensionnelle de Mach 2 et une altitude de 200.000 pieds (61 km), permettant à ses occupants de faire l'expérience d'une quasi absence de pesanteur, et surtout d'une vue sur la Terre sans commune mesure avec celle offerte par les avions commerciaux, qui volent à 12 km.
XCOR affirme que le "Lynx", qui n'offrira qu'une place par vol, l'autre étant réservée au pilote, permettra de tutoyer l'espace pour la moitié du prix actuellement annoncé par ses concurrents, soit 200.000 dollars chez Virgin Galactic.
Cette entreprise du milliardaire britannique Richard Branson vise des vols spatiaux à partir de 2010 depuis le Nouveau-Mexique (sud-ouest) à bord d'un engin de six places capable, lui, de dépasser 100 km d'altitude, soit la frontière de l'espace selon la définition de la Fédération aéronautique internationale.
Le "Lynx" devrait réaliser son premier vol d'essai en 2010 et des rotations commerciales environ deux ans plus tard si le programme avance comme prévu, a indiqué Jeff Greason, PDG de la société XCOR Aerospace basée en Californie (ouest) lors d'une conférence de presse à Beverly Hills, près de Los Angeles.
De la forme d'une navette spatiale et plus petit qu'un jet d'affaires, cet appareil qui n'existe encore que sur plans "décolle et atterrit comme un avion, en utilisant uniquement son moteur-fusée", a fait valoir M. Greason. Ce moteur développé par XCOR depuis 1999 fonctionne à l'oxygène liquide et au kérosène.
Le "Lynx" atteint une vitesse ascensionnelle de Mach 2 et une altitude de 200.000 pieds (61 km), permettant à ses occupants de faire l'expérience d'une quasi absence de pesanteur, et surtout d'une vue sur la Terre sans commune mesure avec celle offerte par les avions commerciaux, qui volent à 12 km.
XCOR affirme que le "Lynx", qui n'offrira qu'une place par vol, l'autre étant réservée au pilote, permettra de tutoyer l'espace pour la moitié du prix actuellement annoncé par ses concurrents, soit 200.000 dollars chez Virgin Galactic.
Cette entreprise du milliardaire britannique Richard Branson vise des vols spatiaux à partir de 2010 depuis le Nouveau-Mexique (sud-ouest) à bord d'un engin de six places capable, lui, de dépasser 100 km d'altitude, soit la frontière de l'espace selon la définition de la Fédération aéronautique internationale.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|