Le silence de l'épervier
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Le silence de l'épervier
partir du vendredi 18 avril, France 2 débutera la diffusion du « Silence de l'épervier », une série de 8 épisodes de 52 minutes réalisée par Dominique Ladoge, interprétée par Line Renaud, Florence Thomassin, Michaël Lonsdale, Michel Duchaussoy, Patrick Fierry, Laurent Bateau ou encore Jean-Marie Winling.
Début de l'histoire : Arcachon. Quartier du Moulleau. En ce début d’après-midi ensoleillé, le rendez-vous a été fixé au pied de Notre Dame des Passes. De l’église surplombant le village on aperçoit en ligne droite la jetée, celle-là même où dans quelques heures les proches de Christine Vivier iront, en sa mémoire, jeter quelques roses. Sur la place de l’église, on ne croise que des visages graves et solennels. Badauds et familiers se sont réunis pour rendre un dernier hommage à la directrice du quotidien Grand Ouest, récemment disparu dans un accident d’avion. En contrebas, Margot, sa sœur, s’entretient avec le sénateur Antoine Carsac. Lui voudrait qu’elle reprenne les rênes du quotidien quand elle se verrait bien rester au domaine viticole qu’elle dirige depuis plusieurs années avec Paul, son second mari.
Pour « Le silence de l'épervier », Line Renaud est devenue Margot, une femme contrainte de reprendre les rênes d’un quotidien familial au grand désespoir de certains. Sa foi en la vérité pousse cette ancienne journaliste à découvrir toutes celles qu’on lui a cachées. En dirigeant Grand Ouest, Margot ne s'imaginait sans doute jamais remonter un jour jusqu’à l'Epervier… Margot Vivier-Lefort est à l’image de son interprète Line Renaud : un personnage haut en couleur qui ne s’en laisse pas compter.
L’idée d’interpréter une patronne de presse, plusieurs personnes l’avaient suggérée à celle qui a “intimement connu André Lazareff”. “Petite, je voulais être reporter de guerre, explique-t-elle. Aujourd’hui si je devais débuter une nouvelle carrière, j’aimerais en faire une à la Arlette Chabot ou à la Christine Ockrent…Ces femmes m’impressionnent, il leur faut une telle poigne de fer pour diriger, mener les débats, calmer leurs invités.” Un rôle qu’elle campera peut-être un jour dans un téléfilm, en attendant la voici dirigeant un quotidien régional.
Difficile en découvrant Margot de ne pas trouver des similitudes avec son interprète. Un même sens du devoir, un tempérament volontaire et déterminé, un attachement familial et une fidélité sans failles, sans compter cette même capacité à toujours aller de l’avant. “Line est ainsi dans tout ce qu’elle entreprend, elle a un vrai sens du devoir”, explique sa productrice, Caroline Solanillas. Car si LM productions produit la série, Line Renaud ne “[se voyait] pas endosser les deux casquettes : on ne peut pas produire et tourner en même temps. En aucun cas, je ne veux quitter mon rôle d’actrice. Produire, je le fais à chaque fois qu’on me refuse une chose à laquelle je crois et jusqu’à présent, je ne me suis jamais trompée.”
Début de l'histoire : Arcachon. Quartier du Moulleau. En ce début d’après-midi ensoleillé, le rendez-vous a été fixé au pied de Notre Dame des Passes. De l’église surplombant le village on aperçoit en ligne droite la jetée, celle-là même où dans quelques heures les proches de Christine Vivier iront, en sa mémoire, jeter quelques roses. Sur la place de l’église, on ne croise que des visages graves et solennels. Badauds et familiers se sont réunis pour rendre un dernier hommage à la directrice du quotidien Grand Ouest, récemment disparu dans un accident d’avion. En contrebas, Margot, sa sœur, s’entretient avec le sénateur Antoine Carsac. Lui voudrait qu’elle reprenne les rênes du quotidien quand elle se verrait bien rester au domaine viticole qu’elle dirige depuis plusieurs années avec Paul, son second mari.
Pour « Le silence de l'épervier », Line Renaud est devenue Margot, une femme contrainte de reprendre les rênes d’un quotidien familial au grand désespoir de certains. Sa foi en la vérité pousse cette ancienne journaliste à découvrir toutes celles qu’on lui a cachées. En dirigeant Grand Ouest, Margot ne s'imaginait sans doute jamais remonter un jour jusqu’à l'Epervier… Margot Vivier-Lefort est à l’image de son interprète Line Renaud : un personnage haut en couleur qui ne s’en laisse pas compter.
L’idée d’interpréter une patronne de presse, plusieurs personnes l’avaient suggérée à celle qui a “intimement connu André Lazareff”. “Petite, je voulais être reporter de guerre, explique-t-elle. Aujourd’hui si je devais débuter une nouvelle carrière, j’aimerais en faire une à la Arlette Chabot ou à la Christine Ockrent…Ces femmes m’impressionnent, il leur faut une telle poigne de fer pour diriger, mener les débats, calmer leurs invités.” Un rôle qu’elle campera peut-être un jour dans un téléfilm, en attendant la voici dirigeant un quotidien régional.
Difficile en découvrant Margot de ne pas trouver des similitudes avec son interprète. Un même sens du devoir, un tempérament volontaire et déterminé, un attachement familial et une fidélité sans failles, sans compter cette même capacité à toujours aller de l’avant. “Line est ainsi dans tout ce qu’elle entreprend, elle a un vrai sens du devoir”, explique sa productrice, Caroline Solanillas. Car si LM productions produit la série, Line Renaud ne “[se voyait] pas endosser les deux casquettes : on ne peut pas produire et tourner en même temps. En aucun cas, je ne veux quitter mon rôle d’actrice. Produire, je le fais à chaque fois qu’on me refuse une chose à laquelle je crois et jusqu’à présent, je ne me suis jamais trompée.”
Soso- Bras droit du Chef invisible
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