Journal intime d'une call-girl, dès ce soir sur M6.
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Journal intime d'une call-girl, dès ce soir sur M6.
M6 débute ce soir, en troisième partie de soirée (23h15/23h40), la diffusion de la série britannique Journal intime d'une call-girl. Ci dessous, la réédition de la critique de Cole sur cette saison 1.
Produit et écrit par : Luccy Prebble.
Avec : Billie Piper, Iddo Goldberg et Cheri Lunghi.
Mesdames, Messieurs, j’ai le bonheur de vous présenter aujourd’hui l’un de mes petits coups de cœurs de la saison. Vous savez, ce genre de séries que l’on découvre sortie derrière les fagots, sans rien en attendre puis qui finalement vous séduit. Le Journal Intime d’une Call Girl est tout à fait ce genre de séries dont vous tomberez éperdument amoureux...ou que vous détesterez au plus haut point. A vous de décider si vous voulez rentrer dans l’univers glamour et porno-chic de la merveilleuse Belle de Jour. Pour ma part, je ne voulais plus en sortir …
Commençons par rompre les clichés. Non, Call-Girl n’est pas une série trash, encore moins racoleuse ! Elle contient évidemment quelques scènes de sexe mais tout en légèreté, à l’image d’un Sex & The City, en tout cas bien moins hard que dans Nip / Tuck ! Contrairement à ce que l’on pourrait croire, la série n’est pas spécialement dérangeante mais pour etre conquis par le show, il faut accepter de s’évader et rentrer dans le monde merveilleux de l’espiègle Hannah.
Hannah le jour, Belle la nuit, Billie Piper interprète avec simplicité et désinvolture une prostituée de luxe brisant les clichés puisqu’elle adore son métier et elle le revendique. La série nous présente ainsi ses petits tracas du quotidien, ses clients réguliers et les bizarreries du métier, toujours avec un humour fin. A la fois classe, sobre et totalement décomplexée, la série se singularise par sa manière si particulière de nous raconter une histoire, des morceaux de vies de la belle Hannah. Si ses parents et sa vie quotidienne sont présentées très brièvement, la série fait le choix de se concentrer sur des passages symptomatiques de la vie d’Hannah, presque en temps réel. On a donc une série intimiste qui se limite à Hannah et son meilleur ami mais qui pour autant ne renvoie pas de sensation de confinement.
La série met donc en scène deux personnages, Hannah et Ben, son meilleur ami. Le personnage d’Hannah est un vrai délice, magnifiquement interprété par une Billie Piper radieuse, et nous renvoie nos clichés sur les call-girl à la figure ! Loin des prostituées contraintes, Hannah est très méthodique, passionnée, maligne, espiègle et drôle. Un petit bout de femme terriblement attachant dont on éprouve un plaisir coupable à suivre les aventures cocasses, parfois glauques à l’image d’une soirée un peu salace dans une boite à partouzes mais cela reste très minoritaire. Puis en tant que professionnelle, elle ne se contente pas d’ouvrir les cuisses, si je puis me permettre, mais au contraire apprend de nouvelles techniques pour se perfectionner. Rassurez-vous, je ne vais pas vous exposer les différentes positions du kama-sutra, bien que ça ne déplairait pas à certains mais le blog tv news visant les ménagères de moins de 50 ans, je me dois d’etre politiquement correct. Par ailleurs, sachez qu’avec une commande d’un catalogue Afibel, vous recevrez un magnifique pichet isotherme pour 3 euros seulement. Oui, ils me contraignent aussi à faire du placement de produit, je suis exploité.
Blague à part, évidemment je rigole et les remercie une nouvelle fois pour la liberté qu’ils m’accordent. Pour revenir au personnage de Belle, je disais donc qu’elle acquiert en permanence de nouvelles compétences. Ainsi, dans un épisode hilarant, on la voit essayer d’être dominatrice après avoir suivi des cours avec la reine maitresse. Mais son côté glam’ revient vite au galop, ce n’est pas son truc ! Dans le dernier épisode, elle tente aussi d’intégrer l’élite des call-girl, les courtisanes pour votre culture personnelle, qui ne possèdent que quelques clients ultra-riches. Mais Belle aime bien trop son boulot actuel ! La série reste ainsi cohérente de bout en bout avec la personnalité de l’héroïne.
Le second personnage, celui de Ben, donne une tout autre dimension à celui de Billie Piper. Celui d’une femme qui assume et adore son job, mais qui garde tout de même une certaine honte vis-à-vis de ses proches. Par ailleurs, quand Ben apprend la vérité au sujet d’Hannah, ils se disputent et celle-ci se remet fortement en question. Et si ce métier n’en était pas vraiment un ? Quel avenir en tant que call-girl ? Ben est-il l’homme de sa vie ? Même si la série reste légère, elle sait ainsi apporter plus de profondeurs quand il le faut, même si l’ensemble reste assez, voire un peu trop, romancé. Ne vous attendez donc pas à voir Matrioshki, cela n’a strictement rien à voir.
Finalement, la série me fait assez penser à Sex & The City par le fait de parler sexe librement évidemment, mais également par le même ton léger et désinvolte de la série, la même rythmique, la même malice, globalement une ambiance très proche ainsi qu’une identité forte pour leur ville de prédilection, NY pour Sex & The City, Londres pour Call Girl. La série a donc eu l’incroyable capacité de traiter d’un sujet choc et facilement graveleux mais avec une légèreté, une douceur et un chic sans égal. La série n’y va pas dans quatre chemins, n’hésite pas à employer les mots qu’il faut mais avec un glamour insolent qui fait qu’on lui pardonne tout. Comme quoi, pas de besoin des scènes de baise pendant 40 minutes pour parler d’un sujet trash, Ryan Murphy si tu nous lis.
Mais ce qui fait la vraie spécificité de call-girl est la complicité unique qui nous lie au personnage de Billie Piper. En effet, au fil de ses aventures, l’héroïne s’adresse directement à la camera, sans que les personnes autour ne le voient. Plus qu’une simple voix-off, la série apporte une innovation narrative géniale. On a le sentiment d’etre un amie à Billie Piper, qu’elle nous parle vraiment. C’est finalement assez difficile à expliquer, c’est un peu comme si on connaissait vraiment Belle, on n’est plus dans une série, le spectateur devient protagoniste de l’histoire. Et le concept va très loin. Ainsi, quand elle est avec un client bizarre, elle nous regarde, ne serait-ce que furtivement, avec une expression que l’on lit dans ses yeux genre ‘Mon dieu mais avec qui suis-je tombé ?’. Un peu comme quand vous vous regardez avec un ami et que vous comprenez la même chose au même moment. Et bien c’est pareil avec Belle. Du même fait, quand elle se lève le matin, elle nous dit bonjour. Je dois dire que c’est assez troublant !
Au travers de ces discussions, Belle nous raconte aussi son métier, ses contraintes, ses bons points mais toujours avec un humour et une espièglerie sans pareil. Coté défauts pour terminer, franchement je n’en vois pas particulièrement. J’ai été totalement séduit par l’univers de Belle. La série est délicieuse, légère, rythmée, mi-chic, mi-rétro et surtout très amusante, elle se savoure telle une friandise interdite. Ainsi, je ne demande pas plus de profondeur ni drame. Le scénario lui-même est exquis. C’est un petit divertissement avec ses petites imperfections, sans prise de tête, mais vraiment jouissif à suivre. C’est mon guilty pleasure de la saison.
Meilleur épisode : 1.01 – ‘Episode 1’
Pire épisode : 1.06 – ‘Episode 6’
Les points forts : L’univers merveilleux et jouissif de la série qui rompt avec son pitch. Ajouté une interprétation tout en volupté d’une Billie Piper radieuse, des dialogues drôles, des situations espiègles malignes et rafraichissantes et quelques scènes osées, mais toujours stylées et classes, qui viennent pimentées la sauce finale. Mais surtout la narration qui nous entraine en protagoniste en show est une innovation formidable.
Les points faibles : Pas spécialement de point faible si ce n’est qui faut prendre la série comme elle : un guilty pleasure doux et rafraichissant. Au delà de cela, certains pourront y reprocher un manque de profondeur.
Conclusion : Cette série est un petit bonheur. Pendant 20 minutes d’une rythmique idyllique, alors que paradoxalement les épisodes sont en quasi temps-réel, on s’évade avec la somptueuse Belle de Jour entre rire, situations cocasses, légereté et parfois drame. Osé sans verser dans le scrabreux, drôle sans être trash, la série se revele finalement un vrai journal, intimiste et touchant, que l’on a plus envie de refermer.
Produit et écrit par : Luccy Prebble.
Avec : Billie Piper, Iddo Goldberg et Cheri Lunghi.
Mesdames, Messieurs, j’ai le bonheur de vous présenter aujourd’hui l’un de mes petits coups de cœurs de la saison. Vous savez, ce genre de séries que l’on découvre sortie derrière les fagots, sans rien en attendre puis qui finalement vous séduit. Le Journal Intime d’une Call Girl est tout à fait ce genre de séries dont vous tomberez éperdument amoureux...ou que vous détesterez au plus haut point. A vous de décider si vous voulez rentrer dans l’univers glamour et porno-chic de la merveilleuse Belle de Jour. Pour ma part, je ne voulais plus en sortir …
Commençons par rompre les clichés. Non, Call-Girl n’est pas une série trash, encore moins racoleuse ! Elle contient évidemment quelques scènes de sexe mais tout en légèreté, à l’image d’un Sex & The City, en tout cas bien moins hard que dans Nip / Tuck ! Contrairement à ce que l’on pourrait croire, la série n’est pas spécialement dérangeante mais pour etre conquis par le show, il faut accepter de s’évader et rentrer dans le monde merveilleux de l’espiègle Hannah.
Hannah le jour, Belle la nuit, Billie Piper interprète avec simplicité et désinvolture une prostituée de luxe brisant les clichés puisqu’elle adore son métier et elle le revendique. La série nous présente ainsi ses petits tracas du quotidien, ses clients réguliers et les bizarreries du métier, toujours avec un humour fin. A la fois classe, sobre et totalement décomplexée, la série se singularise par sa manière si particulière de nous raconter une histoire, des morceaux de vies de la belle Hannah. Si ses parents et sa vie quotidienne sont présentées très brièvement, la série fait le choix de se concentrer sur des passages symptomatiques de la vie d’Hannah, presque en temps réel. On a donc une série intimiste qui se limite à Hannah et son meilleur ami mais qui pour autant ne renvoie pas de sensation de confinement.
La série met donc en scène deux personnages, Hannah et Ben, son meilleur ami. Le personnage d’Hannah est un vrai délice, magnifiquement interprété par une Billie Piper radieuse, et nous renvoie nos clichés sur les call-girl à la figure ! Loin des prostituées contraintes, Hannah est très méthodique, passionnée, maligne, espiègle et drôle. Un petit bout de femme terriblement attachant dont on éprouve un plaisir coupable à suivre les aventures cocasses, parfois glauques à l’image d’une soirée un peu salace dans une boite à partouzes mais cela reste très minoritaire. Puis en tant que professionnelle, elle ne se contente pas d’ouvrir les cuisses, si je puis me permettre, mais au contraire apprend de nouvelles techniques pour se perfectionner. Rassurez-vous, je ne vais pas vous exposer les différentes positions du kama-sutra, bien que ça ne déplairait pas à certains mais le blog tv news visant les ménagères de moins de 50 ans, je me dois d’etre politiquement correct. Par ailleurs, sachez qu’avec une commande d’un catalogue Afibel, vous recevrez un magnifique pichet isotherme pour 3 euros seulement. Oui, ils me contraignent aussi à faire du placement de produit, je suis exploité.
Blague à part, évidemment je rigole et les remercie une nouvelle fois pour la liberté qu’ils m’accordent. Pour revenir au personnage de Belle, je disais donc qu’elle acquiert en permanence de nouvelles compétences. Ainsi, dans un épisode hilarant, on la voit essayer d’être dominatrice après avoir suivi des cours avec la reine maitresse. Mais son côté glam’ revient vite au galop, ce n’est pas son truc ! Dans le dernier épisode, elle tente aussi d’intégrer l’élite des call-girl, les courtisanes pour votre culture personnelle, qui ne possèdent que quelques clients ultra-riches. Mais Belle aime bien trop son boulot actuel ! La série reste ainsi cohérente de bout en bout avec la personnalité de l’héroïne.
Le second personnage, celui de Ben, donne une tout autre dimension à celui de Billie Piper. Celui d’une femme qui assume et adore son job, mais qui garde tout de même une certaine honte vis-à-vis de ses proches. Par ailleurs, quand Ben apprend la vérité au sujet d’Hannah, ils se disputent et celle-ci se remet fortement en question. Et si ce métier n’en était pas vraiment un ? Quel avenir en tant que call-girl ? Ben est-il l’homme de sa vie ? Même si la série reste légère, elle sait ainsi apporter plus de profondeurs quand il le faut, même si l’ensemble reste assez, voire un peu trop, romancé. Ne vous attendez donc pas à voir Matrioshki, cela n’a strictement rien à voir.
Finalement, la série me fait assez penser à Sex & The City par le fait de parler sexe librement évidemment, mais également par le même ton léger et désinvolte de la série, la même rythmique, la même malice, globalement une ambiance très proche ainsi qu’une identité forte pour leur ville de prédilection, NY pour Sex & The City, Londres pour Call Girl. La série a donc eu l’incroyable capacité de traiter d’un sujet choc et facilement graveleux mais avec une légèreté, une douceur et un chic sans égal. La série n’y va pas dans quatre chemins, n’hésite pas à employer les mots qu’il faut mais avec un glamour insolent qui fait qu’on lui pardonne tout. Comme quoi, pas de besoin des scènes de baise pendant 40 minutes pour parler d’un sujet trash, Ryan Murphy si tu nous lis.
Mais ce qui fait la vraie spécificité de call-girl est la complicité unique qui nous lie au personnage de Billie Piper. En effet, au fil de ses aventures, l’héroïne s’adresse directement à la camera, sans que les personnes autour ne le voient. Plus qu’une simple voix-off, la série apporte une innovation narrative géniale. On a le sentiment d’etre un amie à Billie Piper, qu’elle nous parle vraiment. C’est finalement assez difficile à expliquer, c’est un peu comme si on connaissait vraiment Belle, on n’est plus dans une série, le spectateur devient protagoniste de l’histoire. Et le concept va très loin. Ainsi, quand elle est avec un client bizarre, elle nous regarde, ne serait-ce que furtivement, avec une expression que l’on lit dans ses yeux genre ‘Mon dieu mais avec qui suis-je tombé ?’. Un peu comme quand vous vous regardez avec un ami et que vous comprenez la même chose au même moment. Et bien c’est pareil avec Belle. Du même fait, quand elle se lève le matin, elle nous dit bonjour. Je dois dire que c’est assez troublant !
Au travers de ces discussions, Belle nous raconte aussi son métier, ses contraintes, ses bons points mais toujours avec un humour et une espièglerie sans pareil. Coté défauts pour terminer, franchement je n’en vois pas particulièrement. J’ai été totalement séduit par l’univers de Belle. La série est délicieuse, légère, rythmée, mi-chic, mi-rétro et surtout très amusante, elle se savoure telle une friandise interdite. Ainsi, je ne demande pas plus de profondeur ni drame. Le scénario lui-même est exquis. C’est un petit divertissement avec ses petites imperfections, sans prise de tête, mais vraiment jouissif à suivre. C’est mon guilty pleasure de la saison.
Meilleur épisode : 1.01 – ‘Episode 1’
Pire épisode : 1.06 – ‘Episode 6’
Les points forts : L’univers merveilleux et jouissif de la série qui rompt avec son pitch. Ajouté une interprétation tout en volupté d’une Billie Piper radieuse, des dialogues drôles, des situations espiègles malignes et rafraichissantes et quelques scènes osées, mais toujours stylées et classes, qui viennent pimentées la sauce finale. Mais surtout la narration qui nous entraine en protagoniste en show est une innovation formidable.
Les points faibles : Pas spécialement de point faible si ce n’est qui faut prendre la série comme elle : un guilty pleasure doux et rafraichissant. Au delà de cela, certains pourront y reprocher un manque de profondeur.
Conclusion : Cette série est un petit bonheur. Pendant 20 minutes d’une rythmique idyllique, alors que paradoxalement les épisodes sont en quasi temps-réel, on s’évade avec la somptueuse Belle de Jour entre rire, situations cocasses, légereté et parfois drame. Osé sans verser dans le scrabreux, drôle sans être trash, la série se revele finalement un vrai journal, intimiste et touchant, que l’on a plus envie de refermer.
Soso- Bras droit du Chef invisible
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Re: Journal intime d'une call-girl, dès ce soir sur M6.
Et on retrouve Billie Piper que j'ai découverte dans Docteur Who.
Alf- ALF : Amant Libertin Favori
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Re: Journal intime d'une call-girl, dès ce soir sur M6.
J'irai jeter un oiel pour voir... mais c'est comme toutes les séries, au début on n'a pas trop envie d'y mettre les pieds puis après on adore alors faut voir ...
Saphire- La belle au bois dormant (à du mal à se lever et attend le prince charmant)
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Date d'inscription : 07/01/2008
Re: Journal intime d'une call-girl, dès ce soir sur M6.
ah moi j'adore voir les premiers épisodes des nouvelles séries et c'est après que je regarde plus ou que je suis fan
Soso- Bras droit du Chef invisible
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Re: Journal intime d'une call-girl, dès ce soir sur M6.
Démarrage correct pour Journal intime d'une call-girl sur M6
Surfant sur le succès de NCIS, la série inédite britannique Journal intime d'une call-girl (Secret Diary of a Call-Girl en VO), diffusée le vendredi 12 septembre 2008 en seconde partie de soirée sur M6, a su réaliser des débuts corrects en terme d'audience.
Ainsi, l'épisode pilote "Le partenaire idéal" a su séduire 1 260 00 million téléspectateurs pou 11.5% de part de marché.
A titre de comparaison, la série fait néanmoins bien que Californication, dont le pilote avait rassemblé quant à lui 1,7 millions de téléspectateurs.
Rappelons par ailleurs que la saison 1 de la série ne compte que 8 épisodes.
Lors de la soirée, la série termina en seconde position des programmes les plus suivis de sa case horaire, derrière Sans aucun doute sur TF1.
Surfant sur le succès de NCIS, la série inédite britannique Journal intime d'une call-girl (Secret Diary of a Call-Girl en VO), diffusée le vendredi 12 septembre 2008 en seconde partie de soirée sur M6, a su réaliser des débuts corrects en terme d'audience.
Ainsi, l'épisode pilote "Le partenaire idéal" a su séduire 1 260 00 million téléspectateurs pou 11.5% de part de marché.
A titre de comparaison, la série fait néanmoins bien que Californication, dont le pilote avait rassemblé quant à lui 1,7 millions de téléspectateurs.
Rappelons par ailleurs que la saison 1 de la série ne compte que 8 épisodes.
Lors de la soirée, la série termina en seconde position des programmes les plus suivis de sa case horaire, derrière Sans aucun doute sur TF1.
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