Royal en passe de renoncer au parti ?
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Royal en passe de renoncer au parti ?
Ce n'est pas encore un retrait de candidature mais Ségolène Royal a écouté ses proches : s'enfermer dans un isolement jusqu'au congrès de Reims serait une faute stratégique. Du coup, pas à pas, son entourage laisse entendre qu'elle pourrait renoncer à briguer la direction du parti si elle ne parvenait pas à rassembler dans un premier temps sur sa motion. En clair, elle ouvre les discussions. Lundi en milieu de journée, le président de Désirs d'avenir s'est fait encore plus précis. Ainsi Jean-Pierre Mignard a-t-il fait à l'AFP la déclaration suivante : "Il n'y a pas de préalable de quelque manière que ce soit sur la direction du parti (...). Il n'est pas question d'avoir des préalables, surtout quand on veut converger sur les idées. Ségolène Royal est toute prête à le manifester". "Elle ne veut surtout pas que la question de la direction vienne gêner ou retarder une dynamique de convergences", c'est pourquoi "un accord peut se faire relativement facilement", a-t-il ajouté.
Jean-Pierre Mignard a laissé entendre qu'une candidature de l'ex-candidate dépendrait de son score lors du vote des militants sur les motions, le 6 novembre. Il a en effet comparé cette échéance à "un premier tour", le congrès et l'élection du nouveau premier secrétaire constituant le second. Le président de Désirs d'avenir a souhaité que se crée en premier lieu un pôle rassemblant les partisans de Ségolène Royal, les élus de La ligne claire (emmenés par le maire de Lyon Gérard Collomb et le patron des socialistes marseillais Jean-Noël Guérini), Pierre Moscovici, le pôle écologiste, Julien Dray, au vu de ses dernières déclarations" prônant une majorité "sans exclusive". "Ce rassemblement est en bonne voie", a-t-il ajouté.
Moscovici dément un accord avec Royal
Vraiment ? Peu de temps après, interrogé par l'AFP, Pierre Moscovici a démenti en personne tout accord avec la présidente de Poitou-Charentes. Il a réaffirmé sa préoccupation que les présidentiables "fassent la paix" et que "les socialistes se resaisissent collectivement". Plaidant pour "un congrès de l'unité" où "les réformistes doivent tous s'unir", l'ancien ministre a listé "des points de désaccord" avec J.P Mignard. S'il "ne pense pas qu'on puisse exclure Ségolène Royal, qui a fait 47% des voix à l'élection présidentielle", Pierre Moscovici "ne croit pas qu'il faille rejeter Bertrand Delanoë, ni que Martine Aubry doive être dans la minorité" du parti".
Il a rappelé que les militants de son courant "Besoin de gauche" lui avaient donné fin août un mandat: faire une alliance (à laquelle pourrait ensuite se joindre Laurent Fabius) avec Martine Aubry et le groupe de grands élus emmenés par le maire de Lyon Gérard Collomb, et le patron des socialistes marseillais Jean-Noël Guérini. "Je n'en bouge pas", a-t-il dit. Avec Ségolène Royal, qui avait sollicité ce rendez-vous selon lui, "nous n'avons rien négocié, rien envisagé, ce fut une réunion d'échanges libres et sympathiques", a résumé l'ancien ministre. "Je parle très souvent avec Bertrand Delanoë, (lundi) matin encore" et "il est important que je parle avec Martine Aubry", a-t-il ajouté.
Jean-Pierre Mignard a laissé entendre qu'une candidature de l'ex-candidate dépendrait de son score lors du vote des militants sur les motions, le 6 novembre. Il a en effet comparé cette échéance à "un premier tour", le congrès et l'élection du nouveau premier secrétaire constituant le second. Le président de Désirs d'avenir a souhaité que se crée en premier lieu un pôle rassemblant les partisans de Ségolène Royal, les élus de La ligne claire (emmenés par le maire de Lyon Gérard Collomb et le patron des socialistes marseillais Jean-Noël Guérini), Pierre Moscovici, le pôle écologiste, Julien Dray, au vu de ses dernières déclarations" prônant une majorité "sans exclusive". "Ce rassemblement est en bonne voie", a-t-il ajouté.
Moscovici dément un accord avec Royal
Vraiment ? Peu de temps après, interrogé par l'AFP, Pierre Moscovici a démenti en personne tout accord avec la présidente de Poitou-Charentes. Il a réaffirmé sa préoccupation que les présidentiables "fassent la paix" et que "les socialistes se resaisissent collectivement". Plaidant pour "un congrès de l'unité" où "les réformistes doivent tous s'unir", l'ancien ministre a listé "des points de désaccord" avec J.P Mignard. S'il "ne pense pas qu'on puisse exclure Ségolène Royal, qui a fait 47% des voix à l'élection présidentielle", Pierre Moscovici "ne croit pas qu'il faille rejeter Bertrand Delanoë, ni que Martine Aubry doive être dans la minorité" du parti".
Il a rappelé que les militants de son courant "Besoin de gauche" lui avaient donné fin août un mandat: faire une alliance (à laquelle pourrait ensuite se joindre Laurent Fabius) avec Martine Aubry et le groupe de grands élus emmenés par le maire de Lyon Gérard Collomb, et le patron des socialistes marseillais Jean-Noël Guérini. "Je n'en bouge pas", a-t-il dit. Avec Ségolène Royal, qui avait sollicité ce rendez-vous selon lui, "nous n'avons rien négocié, rien envisagé, ce fut une réunion d'échanges libres et sympathiques", a résumé l'ancien ministre. "Je parle très souvent avec Bertrand Delanoë, (lundi) matin encore" et "il est important que je parle avec Martine Aubry", a-t-il ajouté.
Soso- Bras droit du Chef invisible
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