Live fast, die young
Live fast, die young
La faute au triptyque sex, drugs and rock’n roll ? Une rock star a près de deux fois et demi plus de chance de mourir dans les cinq premières années de sa gloire qu'un Américain ou un Européen moyen, affirme une étude de l'Université John Moores de Liverpool publiée lundi dans la revue britannique Journal of Epidemiology and Community Health.
Les cinq premières années sont les plus dangereuses
L'équipe de chercheurs a sélectionné 1.064 musiciens à partir d'un classement des 1.000 meilleurs albums réalisé en 2000 pour plusieurs genres comme le rock, la pop, le New Age, le punk, le rap, le R&B et la musique électronique.
Durant les 25 années qui suivent leurs débuts, le risque de mort prématurée est 70% plus élevé pour ces stars que pour le reste de la population. Ce risque grimpe même à 240% durant les cinq premières années de leur carrière, les plus dévastatrices. Pour ceux qui ont connu la gloire dans les années 1960 et 1970, le taux de mortalité durant les cinq premières années de succès est même trois fois et demi supérieur (+350%) à la population de référence.
Les Européens sont plus sages
Au total, 100 stars du rock, dont Jimi Hendrix, Jim Morrison, Keith Moon, Brian Jones, Janis Joplin et Kurt Cobain, sont mortes entre 1956 et 2005, soit un taux de mortalité de 7,3% pour les femmes et de 9,6% pour les hommes. Sur l'ensemble de l'échantillon, l'alcool et la drogue sont responsables de plus du quart des décès.
Les musiciens européens du rock s'en sont plutôt mieux sortis que leurs homologues américains, avec une mortalité deux fois moins élevée, selon l'étude. Message personnel à Pete Doherty et Amy Winehouse : faites gaffe…
Les cinq premières années sont les plus dangereuses
L'équipe de chercheurs a sélectionné 1.064 musiciens à partir d'un classement des 1.000 meilleurs albums réalisé en 2000 pour plusieurs genres comme le rock, la pop, le New Age, le punk, le rap, le R&B et la musique électronique.
Durant les 25 années qui suivent leurs débuts, le risque de mort prématurée est 70% plus élevé pour ces stars que pour le reste de la population. Ce risque grimpe même à 240% durant les cinq premières années de leur carrière, les plus dévastatrices. Pour ceux qui ont connu la gloire dans les années 1960 et 1970, le taux de mortalité durant les cinq premières années de succès est même trois fois et demi supérieur (+350%) à la population de référence.
Les Européens sont plus sages
Au total, 100 stars du rock, dont Jimi Hendrix, Jim Morrison, Keith Moon, Brian Jones, Janis Joplin et Kurt Cobain, sont mortes entre 1956 et 2005, soit un taux de mortalité de 7,3% pour les femmes et de 9,6% pour les hommes. Sur l'ensemble de l'échantillon, l'alcool et la drogue sont responsables de plus du quart des décès.
Les musiciens européens du rock s'en sont plutôt mieux sortis que leurs homologues américains, avec une mortalité deux fois moins élevée, selon l'étude. Message personnel à Pete Doherty et Amy Winehouse : faites gaffe…
Soso- Bras droit du Chef invisible
-
Nombre de messages : 75253
Age : 52
Localisation : Rueil-Malmaison
Date d'inscription : 12/01/2007
Feuille de personnage
Nom du Personnage:
Classe:
Race:
Sujets similaires
» Bon Jovi revient avec un DVD live
» Olivia Ruiz en CD et DVD live
» Le live de Daft Punk sort lundi
» SHARLEEN SPITERI ALL THE TIMES I CRIED (LIVE)
» Un nouveau Pac Man pour le Xbox Live
» Olivia Ruiz en CD et DVD live
» Le live de Daft Punk sort lundi
» SHARLEEN SPITERI ALL THE TIMES I CRIED (LIVE)
» Un nouveau Pac Man pour le Xbox Live
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|