27-02 - La sandwicherie abritait un club de strip-tease
La Maison :: Le séjour :: Actualité :: Archives des infos.
Page 1 sur 1
27-02 - La sandwicherie abritait un club de strip-tease
La boutique, signalée comme "sandwicherie" au registre du commerce, ne vendait pas de kebab. Ni même de traditionnel jambon fromage d'ailleurs. La spécialité de l'établissement baptisé "Club Azur", était tout autres. Depuis la semaine dernière, le petit magasin situé au 15 du boulevard Garibaldi, dans le XVe arrondissement de Paris a le rideau baissé.
Placardée sur la devanture, une feuille blanche indique : "Fermeture pour travaux. Réouverture en mars". Mais une main opportune a scotché en dessous un article du Parisien titré : "Derrière la sandwicherie..., un club de strip-tease". Mardi dernier, la gérante de la boutique, une jeune femme de 26 ans, a été arrêtée, soupçonnée d'avoir transformé sa boutique en spectacle de cabaret avec effeuillage au menu. Selon l'enquête de la brigade de répression du proxénétisme (BRB) et du groupement d'intervention régional (GIR), elle aurait également employé de manière illégale une vingtaine de jeunes femmes. Une procédure judiciaire a été engagée par la justice. La gérante a été remise en liberté.
"Ils ont en mis du temps pour réagir", s'emporte une voisine de l'immeuble rencontrée devant l'échoppe. "Ça se voyait bien qu'ils ne vendaient pas à manger là-dedans, poursuit-elle en faisant de grands gestes. Entre le nom et la vitrine sans teint... Et puis moi, je voyais de belles filles rentrer habillées de paillettes". Intrigué par le rideau baissé, un passant s'arrête. Elégant costume deux pièces et sacoche de cuir à la main, Jean-Claude travaille dans le quartier. "Oh non, je ne savais pas ce qu'il se passait dedans mais c'était un sujet de plaisanterie entre collègues quand on passait devant". Il sourit, mal à l'aise et reprend. "On se disait que ça devait être un piège à touriste où l'on vous poussait à la consommation. Il y avait même une sonnette pour rentrer, c'était quand même louche..." La voisine le coupe : "Et puis il y avait ce dessin dans la vitrine avec cette jeune fille cramponnée à un poteau".
La femme ne veut surtout pas donner son nom par peur de représailles. "Ouh la la ! Moi je me méfie, c'est peut être un coup de la mafia". Elle se souvient qu'il y a un, l'endroit était un restaurant russe tenu par une mère et sa fille. "Vous vous rendez compte, il y a des endroits pour ça, pas ici. Moi, j'ai trois garçons et un mari, j'ai peur pour eux. Les copains d'un de mes fils y sont allés plusieurs fois. Ils se sont bien amusés, s'offusque la dame. Ils ont même pu toucher".
Placardée sur la devanture, une feuille blanche indique : "Fermeture pour travaux. Réouverture en mars". Mais une main opportune a scotché en dessous un article du Parisien titré : "Derrière la sandwicherie..., un club de strip-tease". Mardi dernier, la gérante de la boutique, une jeune femme de 26 ans, a été arrêtée, soupçonnée d'avoir transformé sa boutique en spectacle de cabaret avec effeuillage au menu. Selon l'enquête de la brigade de répression du proxénétisme (BRB) et du groupement d'intervention régional (GIR), elle aurait également employé de manière illégale une vingtaine de jeunes femmes. Une procédure judiciaire a été engagée par la justice. La gérante a été remise en liberté.
"Ils ont en mis du temps pour réagir", s'emporte une voisine de l'immeuble rencontrée devant l'échoppe. "Ça se voyait bien qu'ils ne vendaient pas à manger là-dedans, poursuit-elle en faisant de grands gestes. Entre le nom et la vitrine sans teint... Et puis moi, je voyais de belles filles rentrer habillées de paillettes". Intrigué par le rideau baissé, un passant s'arrête. Elégant costume deux pièces et sacoche de cuir à la main, Jean-Claude travaille dans le quartier. "Oh non, je ne savais pas ce qu'il se passait dedans mais c'était un sujet de plaisanterie entre collègues quand on passait devant". Il sourit, mal à l'aise et reprend. "On se disait que ça devait être un piège à touriste où l'on vous poussait à la consommation. Il y avait même une sonnette pour rentrer, c'était quand même louche..." La voisine le coupe : "Et puis il y avait ce dessin dans la vitrine avec cette jeune fille cramponnée à un poteau".
La femme ne veut surtout pas donner son nom par peur de représailles. "Ouh la la ! Moi je me méfie, c'est peut être un coup de la mafia". Elle se souvient qu'il y a un, l'endroit était un restaurant russe tenu par une mère et sa fille. "Vous vous rendez compte, il y a des endroits pour ça, pas ici. Moi, j'ai trois garçons et un mari, j'ai peur pour eux. Les copains d'un de mes fils y sont allés plusieurs fois. Ils se sont bien amusés, s'offusque la dame. Ils ont même pu toucher".
Soso- Bras droit du Chef invisible
-
Nombre de messages : 75253
Age : 52
Localisation : Rueil-Malmaison
Date d'inscription : 12/01/2007
Feuille de personnage
Nom du Personnage:
Classe:
Race:
Sujets similaires
» Un strip tease pour son enterrement
» Jessica Biel fait son strip-tease dans powder blue
» Il se prend le talon d'une strip-teaseuse dans l'oeil
» Fight Club
» Jessica Biel fait son strip-tease dans powder blue
» Il se prend le talon d'une strip-teaseuse dans l'oeil
» Fight Club
La Maison :: Le séjour :: Actualité :: Archives des infos.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum