Evelyne Thomas au tribunal contre son ancien compagnon

Le Parisien consacre ce matin un article à Evelyne Thomas qui était hier au tribunal correctionnel de Créteil.

Le quotidien précise que l’animatrice avait demandé le huis clos, chose qui lui a été refusée…

Evelyne Thomas poursuivait Christophe Aigrisse, son ex-compagnon, pour des « appels téléphoniques malveillants de la fin 2006 à mars 2007 », et ce, à la suite de leur séparation qualifiée de « difficile ».

Le nombre d’appels pouvait dépasser la quinzaine par jours, selon les informations rapportées par le Parisien…

Rappelons qu’en novembre 2006, une première plainte avait été déposée par l’animatrice à la suite de quelques violences.

De son côté, Christophe Aigrisse nie ces accusations et précise qu’il ne s’agissait que de discussions pour régler divers problèmes, dont la garde leur enfant, ou pour lui parler.

A la barre, en larmes, Evelyne Thomas déclare à son tour « Je suis extrêmement émue d’être là. C’est extrêmement pénible pour moi. J’ai mis des mois à porter plainte et à pousser la porte d’un commissariat. »

Parlant de la nuit de leur séparation, elle a affirmé: « J’ai failli mourir, dit-elle. Il est entré dans une fureur inouïe, j’étais tétanisée. Il a dit qu’il allait brûler ma maison. Il a été très violent […] Il a dit que j’étais une m… sans lui et que tout le monde me détestait. ». Il m'a dit : « De toute manière, tu es morte médiatiquement ».

Jugement le 4 décembre

Un mois de prison et amende pour l'ex-compagnon d'E.Thomas

Il y a quelques jours, nous vous informions du conflit que traverse actuellement Evelyne Thomas, avec son ex-compagnon… En effet, depuis leur séparation en 2006, Christophe Aigrisse aurait harcelé l’ex-animatrice phare de France 2 par téléphone et sms, avec à la fois des menaces et des mots plus tendres.

Hier, le tribunal correctionnel de Créteil a condamné Christophe Aigrisse à un mois de prison avec sursis et 3000 euros d’amende pour « une série d’appels malveillants ».

L’avocate d’Evelyne Thomas a indiqué qu'une autre affaire était toujours à l'instruction à Nanterre, mais il s’agit cette fois-ci de violences…