Colombie: le Venezuela n'a pas d'informations sur Betancourt
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Colombie: le Venezuela n'a pas d'informations sur Betancourt
CARACAS (AFP) - Le Venezuela n'a pas de nouvelles informations sur l'otage franco-colombienne des Farc Ingrid Betancourt, depuis la mort du numéro deux de la guérilla colombienne marxiste Raul Reyes le 1er mars en Equateur, a déclaré mardi à la presse le président Hugo Chavez.
"Nous n'avons pas d'informations concernant Ingrid. Nous avons perdu les contacts, nous ne savons rien, nous espérons que les contacts et ce mécanisme (de communication) soient rétablis" avec les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc), a affirmé M. Chavez, lors d'une conférence de presse au palais présidentiel de Miraflores.
Le président vénézuélien a expliqué que depuis la mort de Raul Reyes, le 1er mars lors d'une incursion militaire colombienne en Equateur menée contre un camp de la guérilla marxiste des Farc.
"J'espère que le gouvernement (du président colombien, Alvaro Uribe) nous aidera dans ce sens", a-t-il souligné.
M. Chavez a également rappelé qu'avant la mort du numéro deux des Farc, "un degré de probabilité de (parvenir) à la libération d'Ingrid avait été atteint, mais cette probabilité s'est écroulée. Ce n'est pas que c'est clos, ni que ce soit improbable mais ça s'est écroulée".
"La guérilla continue de demander l'évacuation (des municipalités de Pradera et Florida, ndlr), mais il faudra chercher les formules. Que doit-il se passer pour qu'ils libèrent Ingrid ? C'est une excellente question", a ajouté M. Chavez.
Le dirigeant vénézuélien a obtenu la libération de six otages depuis le début de l'année, par le biais de contacts établis avec Reyes.
Mardi, les autorités colombiennes ont également affirmé ne pas détenir d'informations sur Ingrid Betancourt, après la publication d'articles faisant état d'une aggravation de son état de santé et de sa libération imminente.
"Ce sont des bruits et des rumeurs. La vérité, c'est que nous n'avons rien de concret", a affirmé le commandant de l'armée colombienne, le général Mario Montoya, à la radio privée colombienne Caracol.
Captive depuis février 2002, Ingrid Betancourt fait partie d'un groupe de 39 otages que les Farc, en rébellion depuis 1964, proposent aux autorités colombiennes d'échanger contre 500 guérilleros emprisonnés.
"Nous n'avons pas d'informations concernant Ingrid. Nous avons perdu les contacts, nous ne savons rien, nous espérons que les contacts et ce mécanisme (de communication) soient rétablis" avec les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc), a affirmé M. Chavez, lors d'une conférence de presse au palais présidentiel de Miraflores.
Le président vénézuélien a expliqué que depuis la mort de Raul Reyes, le 1er mars lors d'une incursion militaire colombienne en Equateur menée contre un camp de la guérilla marxiste des Farc.
"J'espère que le gouvernement (du président colombien, Alvaro Uribe) nous aidera dans ce sens", a-t-il souligné.
M. Chavez a également rappelé qu'avant la mort du numéro deux des Farc, "un degré de probabilité de (parvenir) à la libération d'Ingrid avait été atteint, mais cette probabilité s'est écroulée. Ce n'est pas que c'est clos, ni que ce soit improbable mais ça s'est écroulée".
"La guérilla continue de demander l'évacuation (des municipalités de Pradera et Florida, ndlr), mais il faudra chercher les formules. Que doit-il se passer pour qu'ils libèrent Ingrid ? C'est une excellente question", a ajouté M. Chavez.
Le dirigeant vénézuélien a obtenu la libération de six otages depuis le début de l'année, par le biais de contacts établis avec Reyes.
Mardi, les autorités colombiennes ont également affirmé ne pas détenir d'informations sur Ingrid Betancourt, après la publication d'articles faisant état d'une aggravation de son état de santé et de sa libération imminente.
"Ce sont des bruits et des rumeurs. La vérité, c'est que nous n'avons rien de concret", a affirmé le commandant de l'armée colombienne, le général Mario Montoya, à la radio privée colombienne Caracol.
Captive depuis février 2002, Ingrid Betancourt fait partie d'un groupe de 39 otages que les Farc, en rébellion depuis 1964, proposent aux autorités colombiennes d'échanger contre 500 guérilleros emprisonnés.
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