Pierre-Louis Colin. Le guide des jolies femmes de Paris
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Pierre-Louis Colin. Le guide des jolies femmes de Paris
Où trouver les jolies filles de Paris ?
Parce que les femmes sont libres, parce que la mode est diverse, parce que la mondialisation mêle les peuples, que les curés sont rares et les crèmes de soin font des merveilles". Dans cet ouvrage aux tendances voyeuristes, l'auteur compose une ode vibrante à la Parisienne, et donne des bonnes adresses et bons horaires pour débusquer les jolis "p’tits lots".
Pour voir les culottes apparaître sous des jupes transparentes, il faut suivre les conseils de ce fin connaisseur. Si la "bourgeoisie active" se retrouve sur les banquettes de café le midi, la "jeunesse marginale" se donne rendez-vous autour de la fontaine des Innocents (1er) alors que la "maturité cochonne" squatte les magasins de lingerie.
En plus d'une analyse précise des principaux quartiers du centre, Pierre-Louis Colin cite quelques "oasis isolées": salle de sport chic, école de théâtre, studio photo, et toujours cafés et restos, lieux de rendez-vous qui savent capter une clientèle "agréable"...
Le mythe de la belle Parisienne appartient lui, pour une bonne part, à la rive gauche, où cet observateur conclut que, là-bas, "chaque femme a sa manière d’ajuster son jean pour souligner la tendre rondeur des fesses".
A noter qu'au carrefour de la Croix-Rouge (6e), il est "impossible, absolument impossible, de traverser sans croiser au moins une très jolie femme, et ce à n'importe quelle heure du jour!".
Ce guide n’est pas un guide du pornographe, toutefois. Comme M. Colin le précise : "Les Parisiennes n'ont pas peur de plaire sans avoir besoin d'allumer. Elles savent être très sexuées, sans être simplement sexuelles."
Parce que les femmes sont libres, parce que la mode est diverse, parce que la mondialisation mêle les peuples, que les curés sont rares et les crèmes de soin font des merveilles". Dans cet ouvrage aux tendances voyeuristes, l'auteur compose une ode vibrante à la Parisienne, et donne des bonnes adresses et bons horaires pour débusquer les jolis "p’tits lots".
Pour voir les culottes apparaître sous des jupes transparentes, il faut suivre les conseils de ce fin connaisseur. Si la "bourgeoisie active" se retrouve sur les banquettes de café le midi, la "jeunesse marginale" se donne rendez-vous autour de la fontaine des Innocents (1er) alors que la "maturité cochonne" squatte les magasins de lingerie.
En plus d'une analyse précise des principaux quartiers du centre, Pierre-Louis Colin cite quelques "oasis isolées": salle de sport chic, école de théâtre, studio photo, et toujours cafés et restos, lieux de rendez-vous qui savent capter une clientèle "agréable"...
Le mythe de la belle Parisienne appartient lui, pour une bonne part, à la rive gauche, où cet observateur conclut que, là-bas, "chaque femme a sa manière d’ajuster son jean pour souligner la tendre rondeur des fesses".
A noter qu'au carrefour de la Croix-Rouge (6e), il est "impossible, absolument impossible, de traverser sans croiser au moins une très jolie femme, et ce à n'importe quelle heure du jour!".
Ce guide n’est pas un guide du pornographe, toutefois. Comme M. Colin le précise : "Les Parisiennes n'ont pas peur de plaire sans avoir besoin d'allumer. Elles savent être très sexuées, sans être simplement sexuelles."
Soso- Bras droit du Chef invisible
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