Prisons: reprise des blocages
Prisons: reprise des blocages
Des gardiens de prison bloquaient mercredi les accès aux prisons dans tout le pays pour la 3e journée consécutive
A Paris, la police est intervenue vers 7h30 pour évacuer sans ménagement une vingtaine d'entre eux qui bloquaient les accès de la prison de la Santé et avaient enflammé une barricade.
Les syndicats, mécontents des propositions du ministère de la Justice sur leurs conditions de travail, ont maintenu leur mobilisation pour mercredi.
Les gardiens des principales prisons de la région parisienne, dont Fleury-Mérogis (Essonne), Fresnes (Val-de-Marne), devaient aussi reprendre l'action dans la matinée, selon la CGT. Le mouvement pourrait selon elle s'étendre, notamment dans la région de Lille. "Plus le mouvement va durer, plus il va s'étendre", a estimé la CGT.
Des discussions au ministère pour améliorer les conditions de travail des surveillants ont duré toute la journée jusqu'à près de 21h00. Ceux-ci demandent des effectifs et des moyens pour faire face à la surpopulation carcérale: 63.351 détenus pour 52.000 places.
Des interventions "musclées" des forces de l'ordre ont marqué mardi la seconde journée de mobilisation des gardiens, en particulier en région parisienne. Ces interventions ont alourdi le climat des négociations.
Interventions musclées des CRS en région parisienne
Les forces de l'ordre ont usé de gaz lacrymogènes et de coups de matraques à Fleury-Mérogis (Essonne), Fresnes (Val-de-Marne), Bois-d'Arcy (Yvelines) ou à la Santé à Paris. Des responsables syndicaux ont également évoqué l'utilisation par les forces de l'ordre d'une sorte de flashball projetant de petits sacs contenant une matière molle mais dense.
Les gendarmes mobiles sont intervenus mardi soir aux abords de la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne), l'une des plus grandes prisons d'Europe. But: déloger les 400 à 500 surveillants pénitentaires qui tentaient d'en bloquer l'accès. Peu avant 21h30, les gendarmes mobiles ont commencé à les repousser en utilisant des gaz lacrymogènes.
Un surveillant a été légèrement blessé à la tête par un éclat de grenade.
Vers 23h15, les forces de l'ordre, déployées environ deux heures plus tôt, sont parvenues à dégager les accès à la prison, bloqués depuis le début de soirée, par cinq barricades qui ont été successivement enflammées.
A Paris, la police est intervenue vers 7h30 pour évacuer sans ménagement une vingtaine d'entre eux qui bloquaient les accès de la prison de la Santé et avaient enflammé une barricade.
Les syndicats, mécontents des propositions du ministère de la Justice sur leurs conditions de travail, ont maintenu leur mobilisation pour mercredi.
Les gardiens des principales prisons de la région parisienne, dont Fleury-Mérogis (Essonne), Fresnes (Val-de-Marne), devaient aussi reprendre l'action dans la matinée, selon la CGT. Le mouvement pourrait selon elle s'étendre, notamment dans la région de Lille. "Plus le mouvement va durer, plus il va s'étendre", a estimé la CGT.
Des discussions au ministère pour améliorer les conditions de travail des surveillants ont duré toute la journée jusqu'à près de 21h00. Ceux-ci demandent des effectifs et des moyens pour faire face à la surpopulation carcérale: 63.351 détenus pour 52.000 places.
Des interventions "musclées" des forces de l'ordre ont marqué mardi la seconde journée de mobilisation des gardiens, en particulier en région parisienne. Ces interventions ont alourdi le climat des négociations.
Interventions musclées des CRS en région parisienne
Les forces de l'ordre ont usé de gaz lacrymogènes et de coups de matraques à Fleury-Mérogis (Essonne), Fresnes (Val-de-Marne), Bois-d'Arcy (Yvelines) ou à la Santé à Paris. Des responsables syndicaux ont également évoqué l'utilisation par les forces de l'ordre d'une sorte de flashball projetant de petits sacs contenant une matière molle mais dense.
Les gendarmes mobiles sont intervenus mardi soir aux abords de la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne), l'une des plus grandes prisons d'Europe. But: déloger les 400 à 500 surveillants pénitentaires qui tentaient d'en bloquer l'accès. Peu avant 21h30, les gendarmes mobiles ont commencé à les repousser en utilisant des gaz lacrymogènes.
Un surveillant a été légèrement blessé à la tête par un éclat de grenade.
Vers 23h15, les forces de l'ordre, déployées environ deux heures plus tôt, sont parvenues à dégager les accès à la prison, bloqués depuis le début de soirée, par cinq barricades qui ont été successivement enflammées.
Frodon- Nounou d'enfer
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