Lait: accord entre agriculteurs et laiteries
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Lait: accord entre agriculteurs et laiteries
Les professionnels de la filière laitière ont conclu un accord mercredi soir, a indiqué le ministère de l'Agriculture
L' accord a été négocié entre agriculteurs et laiteries, permettant de fixer le prix des 1.000 litres de lait à 280 euros.
L'accord est cependant loin de faire l'unanimité, des agriculteurs ont ainsi versé 15.000 litres de lait devant la préfecture du Puy-de-Dôme à Clermont-Ferrand, protestant contre le niveau du prix du lait.
Depuis plus de trois semaines, les agriculteurs ont mené des actions tous azimuts, bloquant laiteries et grandes surfaces, pour protester contre une baisse de 30% du prix du lait collecté en avril décidée par les transformateurs.
"Cet accord est qualifié de satisfaisant par les agriculteurs de l'ouest de la France mais pour ceux du Puy-de-Dôme qui connaissent d'autres contraintes de production du fait du climat et de la situation géographique, c'est insuffisant", a ajouté M. Chaput.
"On est en train de mourir, 280 euros, ça couvre à peine le prix de la production, il faut qu'on vive à côté", a estimé Alexandra Tournadre, jeune agricultrice de 31 ans. "On travaille pour la gloire et on aimerait bien vivre de notre métier", a renchéri à ses côtés Sylvain Murat, un autre éleveur.
L' accord a été négocié entre agriculteurs et laiteries, permettant de fixer le prix des 1.000 litres de lait à 280 euros.
L'accord est cependant loin de faire l'unanimité, des agriculteurs ont ainsi versé 15.000 litres de lait devant la préfecture du Puy-de-Dôme à Clermont-Ferrand, protestant contre le niveau du prix du lait.
Depuis plus de trois semaines, les agriculteurs ont mené des actions tous azimuts, bloquant laiteries et grandes surfaces, pour protester contre une baisse de 30% du prix du lait collecté en avril décidée par les transformateurs.
"Cet accord est qualifié de satisfaisant par les agriculteurs de l'ouest de la France mais pour ceux du Puy-de-Dôme qui connaissent d'autres contraintes de production du fait du climat et de la situation géographique, c'est insuffisant", a ajouté M. Chaput.
"On est en train de mourir, 280 euros, ça couvre à peine le prix de la production, il faut qu'on vive à côté", a estimé Alexandra Tournadre, jeune agricultrice de 31 ans. "On travaille pour la gloire et on aimerait bien vivre de notre métier", a renchéri à ses côtés Sylvain Murat, un autre éleveur.
Frodon- Nounou d'enfer
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