Un A310 disparait en vol
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Un A310 disparait en vol
Un A310 de la compagnie Yemenia a disparu dans la nuit de lundi à mardi entre le Yemen et les Comores avec 158 passagers à bord, dont 11 membres d'équipage, a annoncé une source aéroportuaire tôt mardi matin. Les passagers avaient quitté Roissy lundi à 8h55 à bord d'un A330 pour se rendre à Marseille, puis à Sanaa, au Yemen. Il a ensuite redécollé avec un autre avion, un A310, en direction de Moroni, aux Comores où il devait arriver mardi à 1h (heure de Paris). L'avion a disparu des écrans radar. Selon Reuters, des Français figurent parmi les victimes. Un PC de crise a été activé à Roissy peu après 5h du matin.
"L'avion s'est écrasé et nous ne savons pas encore où. Nous ne savons pas s'il y a des survivants", a déclaré le vice-président comorien Idi Nadhoim, qui se trouvait à l'aéroport de Moroni. "Nous pensons que l'accident s'est produit au moment de son approche. La météo n'est pas vraiment favorable. La mer est très forte", a-t-il ajouté.
La France dépêche des secours
Selon un responsable de l'organisme régional de sécurité aérienne ASECNA, l'appareil s'est probablement écrasé à environ cinq ou 10 km de la côte. Des navires civils et militaires ont été mobilisés pour entamer les recherches. La France a dépêché de la Réunion et de Mayotte, à la demande des Comores, des moyens nautiques et aériens.
Le ministre comorien de la Défense Hamid Bourhane a déclaré que l'armée avait envoyé des vedettes rapides dans une zone située entre le village de Ntsaoueni et l'aéroport de Moroni. "Pour l'instant, nous ignorons s'il y a des survivants", a-t-il ajouté. Selon un responsable des Nations unies présent à l'aéroport, la tour de contrôle a été informée de l'atterrissage prochain de l'appareil, puis a perdu tout contact avec lui.
"L'avion s'est écrasé et nous ne savons pas encore où. Nous ne savons pas s'il y a des survivants", a déclaré le vice-président comorien Idi Nadhoim, qui se trouvait à l'aéroport de Moroni. "Nous pensons que l'accident s'est produit au moment de son approche. La météo n'est pas vraiment favorable. La mer est très forte", a-t-il ajouté.
La France dépêche des secours
Selon un responsable de l'organisme régional de sécurité aérienne ASECNA, l'appareil s'est probablement écrasé à environ cinq ou 10 km de la côte. Des navires civils et militaires ont été mobilisés pour entamer les recherches. La France a dépêché de la Réunion et de Mayotte, à la demande des Comores, des moyens nautiques et aériens.
Le ministre comorien de la Défense Hamid Bourhane a déclaré que l'armée avait envoyé des vedettes rapides dans une zone située entre le village de Ntsaoueni et l'aéroport de Moroni. "Pour l'instant, nous ignorons s'il y a des survivants", a-t-il ajouté. Selon un responsable des Nations unies présent à l'aéroport, la tour de contrôle a été informée de l'atterrissage prochain de l'appareil, puis a perdu tout contact avec lui.
Soso- Bras droit du Chef invisible
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Re: Un A310 disparait en vol
Un A310 s'abîme en mer, 66 Français à bord
Un A310 de la compagnie Yemenia s'est abîmé en mer dans la nuit de lundi à mardi entre le Yemen et les Comores avec 153 passagers à bord, dont 11 membres d'équipage. Plusieurs passagers avaient quitté Roissy lundi à 8h55 à bord d'un A330-200 pour se rendre à Marseille, puis à Sanaa, au Yemen. Ils ont ensuite redécollé avec un autre avion, un A310, en direction de Moroni, aux Comores où ils devaient arriver mardi à 1h (heure de Paris). L'appareil a ensuite disparu des écrans radar alors qu'il se trouvait "en phase d'atterrissage", selon une source aéroportuaire.
66 Français se trouvaient à bord, selon l'AFP, qui cite une source aéroportuaire. 26 Français avaient embarqué à Roissy sur ce vol avec escales et 40 autres à Marseille. 67 personnes avaient embarqué à Roissy et 61 passagers à destination de Moroni avaient embarqué à Marseille. Selon le consul des Comores à Marseille, un certain nombre de passagers devaient être des Comoriens qui rentraient au pays pour la Fête nationale du 6 juillet. (Voir la vidéo)
La France dépêche des secours
"Nous ne savons pas s'il y a des survivants", a précisé le vice-président comorien Idi Nadhoim, qui se trouvait à l'aéroport de Moroni. Les conditions météorologiques étaient mauvaises, avec un vent fort et une mer démontée au moment du drame. "La vitesse du vent à l'aéroport de Moroni était de 61 km/h. Il y a peut-être d'autres facteurs", a précisé le directeur général adjoint de la compagnie Yemenia Airways.
Sur Europe 1 le secrétaire d'Etat aux Transports, Dominique Bussereau a précisé que les mauvaises conditions météo était effectivement une hypothèse pouvant expliquer le crash. "Mais pour l'instant, c'est encore un peu flou", a-t-il prudemment précisé. "On parle d'une approche, d'une remise de gaz puis d'une approche nouvelle qui aurait été ratée. Pour l'instant, il faut être prudent, tant que toutes ces informations ne sont pas vérifiées", a-t-il dit. "Peut-être également la France sera-t-elle associée à l'enquête, notamment s'il y a des compatriotes à bord", a-t-il ajouté. Par ailleurs, "comme l'avion est franco-allemand, nous serons également associés aux investigations. donc de toutes manières nous serons partie prenante", a-t-il ajouté. Selon Airbus, l'avion était exploité par la compagnie depuis 1999, et datait de 1990. Il avait 51.900 heures de vols.
Numéro vert
Des navires civils et militaires ont été mobilisés pour entamer les recherches. La carlingue de l'appareil a été répérée et les premiers corps récupérés. "Des cadavres flottant à la surface de l'eau ont été vus et une nappe de carburant a été repérée à environ 29 km de Moroni", la capitale des Comores, a déclaré un haut responsable de l'Aviation civile. La France a dépêché de la Réunion et de Mayotte, à la demande des Comores, des moyens nautiques et aériens, sous la forme de deux bâtiments de la Marine nationale et d'un Transall. "Des moyens civils et militaires sont en train d'être rassemblés à La Réunion sous l'autorité du préfet", a déclaré le capitaine de vaisseau Christophe Prazuck, de l'état-major.
Par ailleurs, un patrouilleur maritime, La Rieuse, et la frégate de surveillance Nivôse ont reçu l'ordre de se diriger vers Grande Comore, la plus grande île de l'archipel comorien, qu'ils devraient atteindre mercredi, toujours selon le commandant Prazuck. Dès les premières heures de la matinée mardi, une cellule psychologique a été mise en place dans le salon panoramique de l'aéroport Marseille-Provence pour accueillir les familles des passagers de l'avion disparu. Quelques familles sont arrivées à l'aéroport, les journalistes étant tenus à l'écart. "Je suis consterné par ce qui vient de se passer. La prudence est de mise mais il est probable, hélas, que nous devons être touchés", a déclaré pour sa part le maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin, sur la radio France Bleu Provence. Un PC de crise a aussi été activé à Roissy. Un numéro d'urgence a été mis en place : 01 48 64 59 59.
Un A310 de la compagnie Yemenia s'est abîmé en mer dans la nuit de lundi à mardi entre le Yemen et les Comores avec 153 passagers à bord, dont 11 membres d'équipage. Plusieurs passagers avaient quitté Roissy lundi à 8h55 à bord d'un A330-200 pour se rendre à Marseille, puis à Sanaa, au Yemen. Ils ont ensuite redécollé avec un autre avion, un A310, en direction de Moroni, aux Comores où ils devaient arriver mardi à 1h (heure de Paris). L'appareil a ensuite disparu des écrans radar alors qu'il se trouvait "en phase d'atterrissage", selon une source aéroportuaire.
66 Français se trouvaient à bord, selon l'AFP, qui cite une source aéroportuaire. 26 Français avaient embarqué à Roissy sur ce vol avec escales et 40 autres à Marseille. 67 personnes avaient embarqué à Roissy et 61 passagers à destination de Moroni avaient embarqué à Marseille. Selon le consul des Comores à Marseille, un certain nombre de passagers devaient être des Comoriens qui rentraient au pays pour la Fête nationale du 6 juillet. (Voir la vidéo)
La France dépêche des secours
"Nous ne savons pas s'il y a des survivants", a précisé le vice-président comorien Idi Nadhoim, qui se trouvait à l'aéroport de Moroni. Les conditions météorologiques étaient mauvaises, avec un vent fort et une mer démontée au moment du drame. "La vitesse du vent à l'aéroport de Moroni était de 61 km/h. Il y a peut-être d'autres facteurs", a précisé le directeur général adjoint de la compagnie Yemenia Airways.
Sur Europe 1 le secrétaire d'Etat aux Transports, Dominique Bussereau a précisé que les mauvaises conditions météo était effectivement une hypothèse pouvant expliquer le crash. "Mais pour l'instant, c'est encore un peu flou", a-t-il prudemment précisé. "On parle d'une approche, d'une remise de gaz puis d'une approche nouvelle qui aurait été ratée. Pour l'instant, il faut être prudent, tant que toutes ces informations ne sont pas vérifiées", a-t-il dit. "Peut-être également la France sera-t-elle associée à l'enquête, notamment s'il y a des compatriotes à bord", a-t-il ajouté. Par ailleurs, "comme l'avion est franco-allemand, nous serons également associés aux investigations. donc de toutes manières nous serons partie prenante", a-t-il ajouté. Selon Airbus, l'avion était exploité par la compagnie depuis 1999, et datait de 1990. Il avait 51.900 heures de vols.
Numéro vert
Des navires civils et militaires ont été mobilisés pour entamer les recherches. La carlingue de l'appareil a été répérée et les premiers corps récupérés. "Des cadavres flottant à la surface de l'eau ont été vus et une nappe de carburant a été repérée à environ 29 km de Moroni", la capitale des Comores, a déclaré un haut responsable de l'Aviation civile. La France a dépêché de la Réunion et de Mayotte, à la demande des Comores, des moyens nautiques et aériens, sous la forme de deux bâtiments de la Marine nationale et d'un Transall. "Des moyens civils et militaires sont en train d'être rassemblés à La Réunion sous l'autorité du préfet", a déclaré le capitaine de vaisseau Christophe Prazuck, de l'état-major.
Par ailleurs, un patrouilleur maritime, La Rieuse, et la frégate de surveillance Nivôse ont reçu l'ordre de se diriger vers Grande Comore, la plus grande île de l'archipel comorien, qu'ils devraient atteindre mercredi, toujours selon le commandant Prazuck. Dès les premières heures de la matinée mardi, une cellule psychologique a été mise en place dans le salon panoramique de l'aéroport Marseille-Provence pour accueillir les familles des passagers de l'avion disparu. Quelques familles sont arrivées à l'aéroport, les journalistes étant tenus à l'écart. "Je suis consterné par ce qui vient de se passer. La prudence est de mise mais il est probable, hélas, que nous devons être touchés", a déclaré pour sa part le maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin, sur la radio France Bleu Provence. Un PC de crise a aussi été activé à Roissy. Un numéro d'urgence a été mis en place : 01 48 64 59 59.
Soso- Bras droit du Chef invisible
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Re: Un A310 disparait en vol
jamais deux sans trois.......
Soso- Bras droit du Chef invisible
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Re: Un A310 disparait en vol
c'est la mode en ce moment pour les avions ou quoi !!!!!
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Re: Un A310 disparait en vol
ouais !! malheureusement .
Hermyone- Seigneur
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Re: Un A310 disparait en vol
un survivant retrouvé
Quelques heures après le crash de l'A310 de la compagnie Yemenia Airways au large des Comores, les navires civils et militaires présents sur la zone ont repéré la carlingue et plusieurs débris de l'appareil qui transportait 153 personnes, dont 11 membres d'équipage. Un survivant a été secouru selon la compagnie aérienne, tandis qu'une source hospitalière annonce qu'un enfant a été retrouvé "vivant", sans qu'il soit précisé s'il s'agit ou non du même rescapé. Trois corps de victimes ont par ailleurs été repêchés. La France a dépêché de la Réunion et de Mayotte, à la demande des Comores, des moyens nautiques et aériens, sous la forme de deux bâtiments de la Marine nationale et d'un Transall. Un patrouilleur maritime, La Rieuse, et la frégate de surveillance Nivôse ont aussi reçu l'ordre de se diriger vers Grande Comore, la plus grande île de l'archipel comorien, qu'ils devraient atteindre mercredi.
Plusieurs des passagers avaient quitté Roissy lundi à 8h55 à bord d'un A330-200 pour se rendre à Marseille, puis à Sanaa, au Yemen. Ils ont ensuite redécollé avec un autre avion, un A310, en direction de Moroni, aux Comores où ils devaient arriver mardi à 1h (heure de Paris). L'appareil a ensuite disparu des écrans radar alors qu'il se trouvait "en phase d'atterrissage", selon une source aéroportuaire. 66 Français se trouvaient à bord, selon l'AFP, qui cite une source aéroportuaire. 26 Français avaient embarqué à Roissy sur ce vol avec escales et 40 autres à Marseille. Selon le consul des Comores à Marseille, un certain nombre de passagers devaient être des Comoriens qui rentraient au pays pour la Fête nationale du 6 juillet. (Voir la vidéo). Selon Dominique Bussereau, l'avion contrôlé en France en 2007 présentait de "nombreux défauts". (Lire notre article)
Marseille en deuil
Nicolas Sarkozy, qui a exprimé "sa très vive émotion", a demandé aux armées de tout faire depuis Mayotte et La Réunion pour porter secours aux éventuels survivants. Le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner adresse aux familles et aux proches des victimes ses "très sincères condoléances". Le secrétaire d'Etat français à la Coopération, Alain Joyandet, doit se rendre sur place dans les prochaines heures.
Dès les premières heures de la matinée mardi, une cellule psychologique a été mise en place dans le salon panoramique de l'aéroport Marseille-Provence pour accueillir les familles des passagers. Quelques familles sont arrivées à l'aéroport, les journalistes étant tenus à l'écart. "Je suis consterné par ce qui vient de se passer. La prudence est de mise mais il est probable, hélas, que nous devons être touchés", a déclaré pour sa part le maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin, sur la radio France Bleu Provence. Un PC de crise a aussi été activé à Roissy. L'ambassade de France à Moroni a ouvert un numéro de téléphone dédié aux familles des victimes : 00 269 77 30 753. Un numéro de téléphone a été mis en place par Aéroports de Paris (ADP) pour les familles ou les proches des passagers : 01.48.64.59.59.
Quelques heures après le crash de l'A310 de la compagnie Yemenia Airways au large des Comores, les navires civils et militaires présents sur la zone ont repéré la carlingue et plusieurs débris de l'appareil qui transportait 153 personnes, dont 11 membres d'équipage. Un survivant a été secouru selon la compagnie aérienne, tandis qu'une source hospitalière annonce qu'un enfant a été retrouvé "vivant", sans qu'il soit précisé s'il s'agit ou non du même rescapé. Trois corps de victimes ont par ailleurs été repêchés. La France a dépêché de la Réunion et de Mayotte, à la demande des Comores, des moyens nautiques et aériens, sous la forme de deux bâtiments de la Marine nationale et d'un Transall. Un patrouilleur maritime, La Rieuse, et la frégate de surveillance Nivôse ont aussi reçu l'ordre de se diriger vers Grande Comore, la plus grande île de l'archipel comorien, qu'ils devraient atteindre mercredi.
Plusieurs des passagers avaient quitté Roissy lundi à 8h55 à bord d'un A330-200 pour se rendre à Marseille, puis à Sanaa, au Yemen. Ils ont ensuite redécollé avec un autre avion, un A310, en direction de Moroni, aux Comores où ils devaient arriver mardi à 1h (heure de Paris). L'appareil a ensuite disparu des écrans radar alors qu'il se trouvait "en phase d'atterrissage", selon une source aéroportuaire. 66 Français se trouvaient à bord, selon l'AFP, qui cite une source aéroportuaire. 26 Français avaient embarqué à Roissy sur ce vol avec escales et 40 autres à Marseille. Selon le consul des Comores à Marseille, un certain nombre de passagers devaient être des Comoriens qui rentraient au pays pour la Fête nationale du 6 juillet. (Voir la vidéo). Selon Dominique Bussereau, l'avion contrôlé en France en 2007 présentait de "nombreux défauts". (Lire notre article)
Marseille en deuil
Nicolas Sarkozy, qui a exprimé "sa très vive émotion", a demandé aux armées de tout faire depuis Mayotte et La Réunion pour porter secours aux éventuels survivants. Le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner adresse aux familles et aux proches des victimes ses "très sincères condoléances". Le secrétaire d'Etat français à la Coopération, Alain Joyandet, doit se rendre sur place dans les prochaines heures.
Dès les premières heures de la matinée mardi, une cellule psychologique a été mise en place dans le salon panoramique de l'aéroport Marseille-Provence pour accueillir les familles des passagers. Quelques familles sont arrivées à l'aéroport, les journalistes étant tenus à l'écart. "Je suis consterné par ce qui vient de se passer. La prudence est de mise mais il est probable, hélas, que nous devons être touchés", a déclaré pour sa part le maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin, sur la radio France Bleu Provence. Un PC de crise a aussi été activé à Roissy. L'ambassade de France à Moroni a ouvert un numéro de téléphone dédié aux familles des victimes : 00 269 77 30 753. Un numéro de téléphone a été mis en place par Aéroports de Paris (ADP) pour les familles ou les proches des passagers : 01.48.64.59.59.
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Re: Un A310 disparait en vol
Beaucoup de questions après le crash
Alors que les opérations de recherches d'éventuels survivants du vol d'Air Yemenia ont repris mercredi et qu'une boîte noire de l'appareil a été localisée, la polémique, elle, continue de gonfler.
L'A310 de la compagnie aérienne yéménite transportant 153 personnes s'est abîmé en mer dans la nuit de lundi à mardi au large des Comores dans des circonstances inconnues. Seule une jeune fille de 14 ans a survécu.
L'A310-300 avait été "exclu" du sol français "il y a quelques années (...) parce que nous estimions qu'il présentait un certain nombre d'irrégularités dans ses équipements", a indiqué le secrétaire d'Etat français aux Transports, Dominique Bussereau. "Est-ce qu'on peut emmener dans des conditions normales des passagers à partir du territoire français et ensuite les mettre dans un avion qui n'assurerait pas la sécurité?", s'est interrogé Dominique Bussereau devant les députés à Paris.
Des manquements
Cependant le ministre yéménite du Transport, Khaled al-Wazir, a assuré à l'AFP que l'avion n'avait pas de problème technique particulier. L'appareil avait "été révisé en mai 2009 et assurait des liaisons courantes avec l'Europe. Il y a une semaine, il avait assuré une liaison avec Londres", a-t-il dit au téléphone.
Fondée en 1961, la compagnie Yemenia n'avait pas connu d'incidents majeurs ces dernières années bien qu'elle soit la compagnie nationale d'un des pays les plus pauvres de la planète. Pourtant, elle était sous surveillance dans l'Union européenne, la Commission ayant décelé en juillet 2008 des "manquements" à certaines normes de sécurité.
Bruxelles avait accordé un délai à Yemenia pour se mettre en conformité et celle-ci a finalement échappé en avril à son inscription sur la liste noire de l'UE de quelque 200 compagnies dangereuses. Bruxelles veut des normes de sécurité mondiales pour le transport aérien et va évaluer les besoins des compagnies non européennes, a annoncé mardi soir le commissaire aux Transports, Antonio Tajani, après l'accident des Comores. Dans la matinée, un avion avait repéré la carlingue de l'appareil, des débris et des traces de carburant à quelques kilomètres des côtes.
Le témoignage des survivants
"Des cadavres flottant à la surface de l'eau ont été vus et une nappe de carburant a été repérée à environ 17 milles (environ 29 km) de Moroni", a indiqué de son côté à Sanaa un haut responsable de l'Aviation civile yéménite, Mohammad Abdel Kader, sans pouvoir préciser les raisons de l'accident. "Le contact avec le vol 626 de la Yemenia, parti lundi à 21H45 (18H45 GMT), a été perdu mardi à 01H51 (22H51 GMT lundi)", a-t-il expliqué en ajoutant que "les conditions météorologiques étaient mauvaises, avec des vents de 61 noeuds".
Selon des témoins à l'aéroport de Moroni, l'appareil a semblé entamer une approche en vue d'atterrir, avant de soudain repartir, puis de disparaître. "J'ai vu l'avion approcher puis repartir, je n'ai pas compris", expliquait ainsi l'ancien ministre comorien de la Défense, Houmed Msaidié, interrogé par l'AFP à l'aéroport où il était venu accueillir une parente. Cet accident intervient moins d'un mois après la chute dans l'Atlantique d'un A330 d'Air France entre le Brésil et la France, plaçant sous pression le constructeur européen.
Alors que les opérations de recherches d'éventuels survivants du vol d'Air Yemenia ont repris mercredi et qu'une boîte noire de l'appareil a été localisée, la polémique, elle, continue de gonfler.
L'A310 de la compagnie aérienne yéménite transportant 153 personnes s'est abîmé en mer dans la nuit de lundi à mardi au large des Comores dans des circonstances inconnues. Seule une jeune fille de 14 ans a survécu.
L'A310-300 avait été "exclu" du sol français "il y a quelques années (...) parce que nous estimions qu'il présentait un certain nombre d'irrégularités dans ses équipements", a indiqué le secrétaire d'Etat français aux Transports, Dominique Bussereau. "Est-ce qu'on peut emmener dans des conditions normales des passagers à partir du territoire français et ensuite les mettre dans un avion qui n'assurerait pas la sécurité?", s'est interrogé Dominique Bussereau devant les députés à Paris.
Des manquements
Cependant le ministre yéménite du Transport, Khaled al-Wazir, a assuré à l'AFP que l'avion n'avait pas de problème technique particulier. L'appareil avait "été révisé en mai 2009 et assurait des liaisons courantes avec l'Europe. Il y a une semaine, il avait assuré une liaison avec Londres", a-t-il dit au téléphone.
Fondée en 1961, la compagnie Yemenia n'avait pas connu d'incidents majeurs ces dernières années bien qu'elle soit la compagnie nationale d'un des pays les plus pauvres de la planète. Pourtant, elle était sous surveillance dans l'Union européenne, la Commission ayant décelé en juillet 2008 des "manquements" à certaines normes de sécurité.
Bruxelles avait accordé un délai à Yemenia pour se mettre en conformité et celle-ci a finalement échappé en avril à son inscription sur la liste noire de l'UE de quelque 200 compagnies dangereuses. Bruxelles veut des normes de sécurité mondiales pour le transport aérien et va évaluer les besoins des compagnies non européennes, a annoncé mardi soir le commissaire aux Transports, Antonio Tajani, après l'accident des Comores. Dans la matinée, un avion avait repéré la carlingue de l'appareil, des débris et des traces de carburant à quelques kilomètres des côtes.
Le témoignage des survivants
"Des cadavres flottant à la surface de l'eau ont été vus et une nappe de carburant a été repérée à environ 17 milles (environ 29 km) de Moroni", a indiqué de son côté à Sanaa un haut responsable de l'Aviation civile yéménite, Mohammad Abdel Kader, sans pouvoir préciser les raisons de l'accident. "Le contact avec le vol 626 de la Yemenia, parti lundi à 21H45 (18H45 GMT), a été perdu mardi à 01H51 (22H51 GMT lundi)", a-t-il expliqué en ajoutant que "les conditions météorologiques étaient mauvaises, avec des vents de 61 noeuds".
Selon des témoins à l'aéroport de Moroni, l'appareil a semblé entamer une approche en vue d'atterrir, avant de soudain repartir, puis de disparaître. "J'ai vu l'avion approcher puis repartir, je n'ai pas compris", expliquait ainsi l'ancien ministre comorien de la Défense, Houmed Msaidié, interrogé par l'AFP à l'aéroport où il était venu accueillir une parente. Cet accident intervient moins d'un mois après la chute dans l'Atlantique d'un A330 d'Air France entre le Brésil et la France, plaçant sous pression le constructeur européen.
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