705 millions pour les fins de droits
705 millions pour les fins de droits
Compromis partenaires sociaux/Etat pour allouer 705 millions d'euros aux 325.000 chômeurs en fin de droits
"Cette allocation serait du niveau de l'ASS (Allocation spécifique de solidarité)", et "en échange de cette allocation les fins de droit ne pourraient pas refuser un contrat aidé ou une formation", avait affirmé Nicolas Sarkozy lors d'un déplacement dans une agence de Pôle Emploi à Gonesse (Seine-St-Denis).
"L'équilibre est celui-là", a-t-il dit.
"J'espère qu'ils (les partenaires sociaux) se mettront d'accord sur le principe d'une allocation accordée plusieurs mois à nos compatriotes en fin de droits comme filet de sécurité", a affirmé le chef de l'Etat.
Il a par ailleurs confirmé que l'Etat était "prêt avec les partenaires sociaux et, si possible, avec les régions, à dégager plusieurs centaines de millions d'euros supplémentaires" pour fournir des contrats aidés et des formations rémunérées, selon un communiqué de l'Elysée.
Les partenaires sociaux ont rendez-vous jeudi soir avec le secrétaire d'Etat à l'Emploi, Laurent Wauquiez, pour évoquer la question des chômeurs en fin de droits qui devraient être 360.000 en 2010.
Démission du médiateur de Pôle Emploi
Nicolas Sarkozy s'est rendu dans une agence de Pole Emploi le jour de la démission du médiateur de Pôle emploi , Benoît Genuini.
Ce dernier a choisi de démissioner un mois après la remise de son premier rapport dans lequel il épinglait divers dysfonctionnements et prônait "beaucoup plus de bon sens et d'humanité".
M. Genuini a expliqué au Figaro n'avoir "ni les moyens ni le soutien nécessaire pour continuer à faire (s)on travail" et affirmé que "la direction générale n'a pas vu l'intérêt de (s)on rapport parce qu'elle accepte mal toute forme de critique". Sa démission a suscité des regrets, voire des inquiétudes chez plusieurs syndicalistes siégeant au conseil d'administration de Pôle emploi
"Cette allocation serait du niveau de l'ASS (Allocation spécifique de solidarité)", et "en échange de cette allocation les fins de droit ne pourraient pas refuser un contrat aidé ou une formation", avait affirmé Nicolas Sarkozy lors d'un déplacement dans une agence de Pôle Emploi à Gonesse (Seine-St-Denis).
"L'équilibre est celui-là", a-t-il dit.
"J'espère qu'ils (les partenaires sociaux) se mettront d'accord sur le principe d'une allocation accordée plusieurs mois à nos compatriotes en fin de droits comme filet de sécurité", a affirmé le chef de l'Etat.
Il a par ailleurs confirmé que l'Etat était "prêt avec les partenaires sociaux et, si possible, avec les régions, à dégager plusieurs centaines de millions d'euros supplémentaires" pour fournir des contrats aidés et des formations rémunérées, selon un communiqué de l'Elysée.
Les partenaires sociaux ont rendez-vous jeudi soir avec le secrétaire d'Etat à l'Emploi, Laurent Wauquiez, pour évoquer la question des chômeurs en fin de droits qui devraient être 360.000 en 2010.
Démission du médiateur de Pôle Emploi
Nicolas Sarkozy s'est rendu dans une agence de Pole Emploi le jour de la démission du médiateur de Pôle emploi , Benoît Genuini.
Ce dernier a choisi de démissioner un mois après la remise de son premier rapport dans lequel il épinglait divers dysfonctionnements et prônait "beaucoup plus de bon sens et d'humanité".
M. Genuini a expliqué au Figaro n'avoir "ni les moyens ni le soutien nécessaire pour continuer à faire (s)on travail" et affirmé que "la direction générale n'a pas vu l'intérêt de (s)on rapport parce qu'elle accepte mal toute forme de critique". Sa démission a suscité des regrets, voire des inquiétudes chez plusieurs syndicalistes siégeant au conseil d'administration de Pôle emploi
Frodon- Nounou d'enfer
-
Nombre de messages : 43899
Age : 48
Localisation : Nîmes
Date d'inscription : 05/02/2007
Feuille de personnage
Nom du Personnage: Meriappi Drago
Classe: Roublard
Race: Halfelin
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|