L'ex-miss fait frissonner Bordeaux
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L'ex-miss fait frissonner Bordeaux
Balancera ou balancera pas ? Le procès de « Madame Agnès », qui s'ouvre ce matin devant le tribunal correctionnel de Bordeaux, fait trembler certains « notables » bordelais. Beaucoup d'anciens clients de cette ex « Madame Claude » girondine redoutent en effet que leur nom soit prononcé au cours de l'audience. Des footballeurs des Girondins de Bordeaux, des chefs d'entreprise ainsi que des médecins de la place bordelaise auraient eu recours, pendant deux ans, aux services de cette ancienne miss Aquitaine.
Cette jeune femme aujourd'hui âgée de 35 ans est très vite passée d'une activité de strip-teaseuse à celle d'escort girl. « Elle a progressivement basculé vers des prestations de plus en plus importantes, et le bouche à oreille à rapidement fonctionné », explique son avocat, Arnaud Dupin. Pour faire face à la demande, cette jolie brune longiligne fait appel à d'autres femmes. Mais à l'automne 2004, les affaires commencent à se gâter. C'est en enquêtant sur l'un de ses clients que les gendarmes de la section de recherche de Bordeaux découvrent l'existence de son réseau. Interpellée et mise en examen pour « proxénétisme », la trentenaire fera deux mois de détention provisoire. Depuis, elle a retrouvé un emploi et fondé une famille. « Elle appréhende beaucoup ce procès, car elle va être obligée d'évoquer son intimité », souligne son conseil. Des noms, elle ne semble pas décidée à en livrer... mais d'autres pourraient parler à sa place.
Cette jeune femme aujourd'hui âgée de 35 ans est très vite passée d'une activité de strip-teaseuse à celle d'escort girl. « Elle a progressivement basculé vers des prestations de plus en plus importantes, et le bouche à oreille à rapidement fonctionné », explique son avocat, Arnaud Dupin. Pour faire face à la demande, cette jolie brune longiligne fait appel à d'autres femmes. Mais à l'automne 2004, les affaires commencent à se gâter. C'est en enquêtant sur l'un de ses clients que les gendarmes de la section de recherche de Bordeaux découvrent l'existence de son réseau. Interpellée et mise en examen pour « proxénétisme », la trentenaire fera deux mois de détention provisoire. Depuis, elle a retrouvé un emploi et fondé une famille. « Elle appréhende beaucoup ce procès, car elle va être obligée d'évoquer son intimité », souligne son conseil. Des noms, elle ne semble pas décidée à en livrer... mais d'autres pourraient parler à sa place.
Soso- Bras droit du Chef invisible
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Date d'inscription : 12/01/2007
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Re: L'ex-miss fait frissonner Bordeaux
"Elle a les méthodes de Madame Claude"
Le tribunal correctionnel de Bordeaux a mis sa décision en délibéré au 9 novembre dans l'affaire de "Madame Agnès", une ancienne reine de beauté de 36 ans jugée vendredi pour des faits de proxénétisme. Douze mois de prison, dont huit avec sursis, et 100.000 euros d'amende ont été requis par le procureur contre "Madame Agnès" et 6 mois de prison avec sursis et 50.000 euros d'amende à l'encontre de son compagnon, âgé de 35 ans.
L'audience, débutée vendredi matin, s'est achevée en milieu d'après-midi par les plaidoiries des défenseurs, Me Anne Cadiot-Feidt et Me Arnaud Dupin. "Madame Agnès" est poursuivie pour s'être prostituée et avoir aidé à se prostituer cinq ou six jeunes femmes rencontrées dans des clubs échangistes, au cours de soirées "à plusieurs" pour une clientèle haut de gamme. Une trentaine de personnes, dont des notables bordelais (médecins, joueurs de football, chefs d'entreprise) avaient été entendues dans le cadre de l'enquête.
"Elle refuse d'appeler un chat, un chat"
Aucune personnalité n'a été citée lors de l'audience, même si au cours des débats Me Dupin a fait allusion à "un attaquant" de football, "trois footballeurs brésiliens" et "un médecin". "Madame Agnès n'a pas l'envergure de Madame Claude mais elle en a les méthodes", a tonné dans son réquisitoire le procureur, Anne-Cécile Dumonteil, en référence à ce célèbre personnage qui était à la tête d'un réseau de 'call girls' dans les années 1960-1970. "Comme Madame Claude, elle sélectionne ses jeunes filles, elle prospecte, elle recrute, et comme Madame Claude elle refuse d'appeler un chat un chat", a-t-elle ajouté.
La magistrate a notamment ironisé sur le mot de "service" employé par "Madame Agnès" pour évoquer ses relations avec les autres prostituées. L'ex-reine de beauté a de son côté fait allusion à un viol dont elle aurait été victime de la part de plusieurs footballeurs. Quant à son compagnon, il a expliqué à la barre qu'il ignorait tout.
Le tribunal correctionnel de Bordeaux a mis sa décision en délibéré au 9 novembre dans l'affaire de "Madame Agnès", une ancienne reine de beauté de 36 ans jugée vendredi pour des faits de proxénétisme. Douze mois de prison, dont huit avec sursis, et 100.000 euros d'amende ont été requis par le procureur contre "Madame Agnès" et 6 mois de prison avec sursis et 50.000 euros d'amende à l'encontre de son compagnon, âgé de 35 ans.
L'audience, débutée vendredi matin, s'est achevée en milieu d'après-midi par les plaidoiries des défenseurs, Me Anne Cadiot-Feidt et Me Arnaud Dupin. "Madame Agnès" est poursuivie pour s'être prostituée et avoir aidé à se prostituer cinq ou six jeunes femmes rencontrées dans des clubs échangistes, au cours de soirées "à plusieurs" pour une clientèle haut de gamme. Une trentaine de personnes, dont des notables bordelais (médecins, joueurs de football, chefs d'entreprise) avaient été entendues dans le cadre de l'enquête.
"Elle refuse d'appeler un chat, un chat"
Aucune personnalité n'a été citée lors de l'audience, même si au cours des débats Me Dupin a fait allusion à "un attaquant" de football, "trois footballeurs brésiliens" et "un médecin". "Madame Agnès n'a pas l'envergure de Madame Claude mais elle en a les méthodes", a tonné dans son réquisitoire le procureur, Anne-Cécile Dumonteil, en référence à ce célèbre personnage qui était à la tête d'un réseau de 'call girls' dans les années 1960-1970. "Comme Madame Claude, elle sélectionne ses jeunes filles, elle prospecte, elle recrute, et comme Madame Claude elle refuse d'appeler un chat un chat", a-t-elle ajouté.
La magistrate a notamment ironisé sur le mot de "service" employé par "Madame Agnès" pour évoquer ses relations avec les autres prostituées. L'ex-reine de beauté a de son côté fait allusion à un viol dont elle aurait été victime de la part de plusieurs footballeurs. Quant à son compagnon, il a expliqué à la barre qu'il ignorait tout.
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