Sans-abri
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Sans-abri
BARRE, Vermont (AP) -- Un sans-abri pensait faire une bonne action en passant dix heures par jour devant un supermarché pour récolter des fonds pour une oeuvre caritative. Mais le refuge dans lequel il vivait ne l'a pas vu de cet oeil et a ordonné le renvoi de Paul Tucker.
Ce centre du Vermont propose un hébergement d'urgence, des vêtements et des repas à une vingtaine de sans-abri. En échange, il leur demande de quitter le refuge chaque jour à 7h pour chercher un logement ou du travail, explique le directeur, Paul Mascitti.
"Si vous ne faites rien dix heures par jour, que ce soit paresser sur une plage, travailler pour l'Armée du Salut ou rester assis dans un Dunkin' Donuts, vous rompez votre contrat avec nous", note-t-il.
En moyenne, un sans domicile fixe passe 29 jours au centre, poursuit-il. Or Paul Tucker était là depuis mai. Depuis deux semaines, il récoltait des fonds pour les nécessiteux pour le compte de l'Armée du Salut. "C'est vraiment une question de générosité", confie-t-il.
Paul Tucker, qui a travaillé comme peintre, agriculteur ou encore homme de ménage dans un fast-food, n'éprouve aucun ressentiment contre le refuge. "Je n'y trouve rien à redire, mais je ne pense pas que ce soit bien", poursuit cependant le sans-abri, qui ne sait pas encore où il ira après avoir quitté le refuge. AP
Ce centre du Vermont propose un hébergement d'urgence, des vêtements et des repas à une vingtaine de sans-abri. En échange, il leur demande de quitter le refuge chaque jour à 7h pour chercher un logement ou du travail, explique le directeur, Paul Mascitti.
"Si vous ne faites rien dix heures par jour, que ce soit paresser sur une plage, travailler pour l'Armée du Salut ou rester assis dans un Dunkin' Donuts, vous rompez votre contrat avec nous", note-t-il.
En moyenne, un sans domicile fixe passe 29 jours au centre, poursuit-il. Or Paul Tucker était là depuis mai. Depuis deux semaines, il récoltait des fonds pour les nécessiteux pour le compte de l'Armée du Salut. "C'est vraiment une question de générosité", confie-t-il.
Paul Tucker, qui a travaillé comme peintre, agriculteur ou encore homme de ménage dans un fast-food, n'éprouve aucun ressentiment contre le refuge. "Je n'y trouve rien à redire, mais je ne pense pas que ce soit bien", poursuit cependant le sans-abri, qui ne sait pas encore où il ira après avoir quitté le refuge. AP
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