Ligue des Champions
Ligue des Champions
Marseille toujours bredouille
Marseille s'est incliné 2-1 lors de son 2e match de la phase de poules de Ligue des Champions contre l'Atletico Madrid.
La désillusion au Vélodrome face à Liverpool (1-2) s'est renouvelée à Madrid où les Phocéens n'ont pas démérité contre un Atletico simplement plus réaliste (buts de Aguero 4e et Raul Garcia 23e contre un but de Niang, 16e). Dans l'autre rencontre du groupe D, Liverpool a battu Eindhoven 3-1. Reds et Colchoneros ont déjà un pied en 8e de finale.
Défense friable
Après quelques débordements dus à la volonté des forces de l'ordre espagnoles de retirer une banderole olympienne dans la tribune réservée aux visiteurs (voir encadré), Monsieur Ovrebo, l'arbitre norvégien de la rencontre, a pu siffler le coup d'envoi. Un engagement donné par les Colchoneros qui allaient perdre le ballon très rapidement: Valbuena s'enfuyait sur la droite du terrain mais son tir croisé des 25 mètres manquait de puissance. Loin de se laisser impressionner par l'ambiance du stade Vicente-Calderon, les Marseillais tentaient de presser haut l'adversaire. Pourtant, sur la première incursion madrilène, l'OM va craquer: du milieu de terrain, le capitaine Maxi Rodriguez alertait "Kun" Aguero en profondeur. L'Argentin crochetait Erbate et prenait Mandanda à contre-pied pour ouvrir la marque (1-0, 4e).
Trois minutes plus tard, Aguero échappait de nouveau à la vigilance de l'arrière-garde phocéenne mais Mandanda sauvait son camp en déviant la tentative de lob du Sud-Américain. Puis une frappe de loin de Ben Arfa ne donnait rien. Mandanda effectuait une faute de main sans conséquence. Et sur un corner, Taïwo manquait le cadre d'une tête piquée. Marseille bafouillait son football et les Olympiens s'énervaient. Ben Arfa écopait d'un avertissement pour une faute grossière sur Maxi Rodriguez. Juste avant le quart d'heure de jeu, Raul Garcia voyait sa tête frôler le poteau gauche de la cage de Mandanda qui semblait battu. Mais au moment où les hommes de Gerets semblaient peiner, l'égalisation allait intervenir: Valbuena lançait Bonnart –parti comme une balle- sur l'aile droite, le petit latéral droit débordait et centrait de façon magistrale pour Niang qui catapultait le cuir dans la lucarne droite du but de Franco (1-1, 16e).
Taiwo récoltait un carton jaune mérité après un tacle par derrière sur Aguero pourtant placé le long de la touche. Sur le coup franc consécutif à cette faute de débutant, Pernia centrait fort au premier poteau: le ballon était dévié du plat du pied par Raul Garcia –plus prompt que Niang- et terminait sa course à ras du poteau droit de la cage phocéenne, Mandanda ne pouvant rien sur ce coup-là (2-1, 22e). A la 30e minute, Sinama-Pongolle échappait à la défense centrale marseillaise mais Hilton le reprenait in extremis de façon régulière selon l'arbitre. Le match se durcissait et Valbuena prenait une semelle d'Assunçao qui aurait mérité une sanction administrative.
Cinq minutes avant la mi-temps, sur un tir enroulé des 20 mètres, Niang obligeait Franco à une parade splendide pour empêcher l'égalisation. Entreprenants, les Marseillais continuaient de se projeter vers l'avant dès que possible. Sur une contre-attaque, Valbuena était séché par Pernia qui récoltait un carton jaune mérité. Dans les arrêts de jeu, Mandanda était trop court sur un centre tendu venu de la gauche mais Taiwo écartait le danger. L'Atletico regagnait les vestiaires avec un but d'avance.
Marseille s'est incliné 2-1 lors de son 2e match de la phase de poules de Ligue des Champions contre l'Atletico Madrid.
La désillusion au Vélodrome face à Liverpool (1-2) s'est renouvelée à Madrid où les Phocéens n'ont pas démérité contre un Atletico simplement plus réaliste (buts de Aguero 4e et Raul Garcia 23e contre un but de Niang, 16e). Dans l'autre rencontre du groupe D, Liverpool a battu Eindhoven 3-1. Reds et Colchoneros ont déjà un pied en 8e de finale.
Défense friable
Après quelques débordements dus à la volonté des forces de l'ordre espagnoles de retirer une banderole olympienne dans la tribune réservée aux visiteurs (voir encadré), Monsieur Ovrebo, l'arbitre norvégien de la rencontre, a pu siffler le coup d'envoi. Un engagement donné par les Colchoneros qui allaient perdre le ballon très rapidement: Valbuena s'enfuyait sur la droite du terrain mais son tir croisé des 25 mètres manquait de puissance. Loin de se laisser impressionner par l'ambiance du stade Vicente-Calderon, les Marseillais tentaient de presser haut l'adversaire. Pourtant, sur la première incursion madrilène, l'OM va craquer: du milieu de terrain, le capitaine Maxi Rodriguez alertait "Kun" Aguero en profondeur. L'Argentin crochetait Erbate et prenait Mandanda à contre-pied pour ouvrir la marque (1-0, 4e).
Trois minutes plus tard, Aguero échappait de nouveau à la vigilance de l'arrière-garde phocéenne mais Mandanda sauvait son camp en déviant la tentative de lob du Sud-Américain. Puis une frappe de loin de Ben Arfa ne donnait rien. Mandanda effectuait une faute de main sans conséquence. Et sur un corner, Taïwo manquait le cadre d'une tête piquée. Marseille bafouillait son football et les Olympiens s'énervaient. Ben Arfa écopait d'un avertissement pour une faute grossière sur Maxi Rodriguez. Juste avant le quart d'heure de jeu, Raul Garcia voyait sa tête frôler le poteau gauche de la cage de Mandanda qui semblait battu. Mais au moment où les hommes de Gerets semblaient peiner, l'égalisation allait intervenir: Valbuena lançait Bonnart –parti comme une balle- sur l'aile droite, le petit latéral droit débordait et centrait de façon magistrale pour Niang qui catapultait le cuir dans la lucarne droite du but de Franco (1-1, 16e).
Taiwo récoltait un carton jaune mérité après un tacle par derrière sur Aguero pourtant placé le long de la touche. Sur le coup franc consécutif à cette faute de débutant, Pernia centrait fort au premier poteau: le ballon était dévié du plat du pied par Raul Garcia –plus prompt que Niang- et terminait sa course à ras du poteau droit de la cage phocéenne, Mandanda ne pouvant rien sur ce coup-là (2-1, 22e). A la 30e minute, Sinama-Pongolle échappait à la défense centrale marseillaise mais Hilton le reprenait in extremis de façon régulière selon l'arbitre. Le match se durcissait et Valbuena prenait une semelle d'Assunçao qui aurait mérité une sanction administrative.
Cinq minutes avant la mi-temps, sur un tir enroulé des 20 mètres, Niang obligeait Franco à une parade splendide pour empêcher l'égalisation. Entreprenants, les Marseillais continuaient de se projeter vers l'avant dès que possible. Sur une contre-attaque, Valbuena était séché par Pernia qui récoltait un carton jaune mérité. Dans les arrêts de jeu, Mandanda était trop court sur un centre tendu venu de la gauche mais Taiwo écartait le danger. L'Atletico regagnait les vestiaires avec un but d'avance.
Frodon- Nounou d'enfer
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Age : 48
Localisation : Nîmes
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Nom du Personnage: Meriappi Drago
Classe: Roublard
Race: Halfelin
Re: Ligue des Champions
Le sort s'acharne contre Bordeaux
La qualification s'éloigne déjà pour Bordeaux, battu 3-1 à domicile par l'AS Roma en Ligue des champions.
La soirée avait pourtant bien commencé pour les hommes de Laurent Blanc avec l'ouverture du score de Gourcuff (18e). C'était avant l'exclusion de Henrique pour un mauvais geste. Inexistante pendant une heure, la Roma refaisait surface sur coup de pied arrêté grâce à Vucinic (64e) et Baptista (71e), ce dernier crucifiant les Girondins à la 83e.
Dans l'autre match du groupe A, Cluj a tenu tête à Chelsea 0-0.
Avec deux équipes qui étaient loin d'avoir atteint leur plénitude en ce début de saison, le doute était palpable dans les premières minutes. Mais Bordeaux se faisait violence et cherchait vite à emballer le match avec Gourcuff et Obertan. Lancé plein axe suite à un une-deux avec Chamakh, Jussiê se retrouvait en bonne position de tir mais Doni veillait (9e). Pas plein, Chaban-Delmas accompagnait ses joueurs. Il en était récompensé. Décalé par Chamakh, Jussiê servait Gourcuff. Sa prise de balle était parfaite. Son tir enroulé était mieux que ça et trouvait le petit filet de Doni. Du grand art (1-0, 19e) ! Blanc devait apprécier le bon début de ses troupes, eux qui avaient raté leur première mi-temps face à St-Etienne. Pas dans son assiette, la Roma ne réagissait que sur un coup franc. Celui lointain de Riise ne donnait rien (26e). Malheureusement, la sérénité bordelaise prenait du plomb dans l'aile. En deux minutes, Jussiê se blessait et Henrique écopait d'un carton rouge pour un mauvais geste. Il avait le tort de répondre à la provocation des Italiens. Contraint de s'adapter, Blanc remplaçait alors Jussiê par Wendel et Obertan par Planus. Et même à dix, ce sont les Girondins qui se montraient les plus dangereux comme sur cette tête de Wendel (45e+1).
Sans Totti, la Roma faisait peine à voir. Les ballons étaient fuyants, les têtes basses. Du coup, on s'ennuyait ferme pendant cette deuxième mi-temps. Ce n'était pas pour déplaire aux Bordelais, bien campés sur leur base. Mais on n'est jamais à l'abri d'un coup de pied arrêté …ou deux. Sur un corner, Vucinic égalisait de la tête (1-1, 64e) avant une merveille de coup franc de Baptista qui laissait Valverde sans réaction (1-2, 71e). Hold-up ou leçon de réalisme, ça ne changeait pas grand-chose… Mais que c'était dur pour les Girondins qui maîtrisaient parfaitement la rencontre. Ils n'allaient pas s'en remettre. Bien au contraire, ils sombraient. Idéalement servi par Vucinic, Okaka ratait le KO (76e), pas Baptista qui se jetait sur un centre en première intention de Taddei (1-3, 83e). Cruelle Ligue des champions qui ne laisse pas de place au hasard. Apathiques pendant une heure, les Romains ont fait le dos rond avant de profiter des maigres occasions qu'ils ont eu. Et les voilà relancés pour la qualification d'autant que Cluj et Chelsea ont fait nul 0-0. En revanche, Bordeaux aura du mal à se relever de ces deux défaites initiales, y compris pour se raccrocher à la coupe UEFA.
La qualification s'éloigne déjà pour Bordeaux, battu 3-1 à domicile par l'AS Roma en Ligue des champions.
La soirée avait pourtant bien commencé pour les hommes de Laurent Blanc avec l'ouverture du score de Gourcuff (18e). C'était avant l'exclusion de Henrique pour un mauvais geste. Inexistante pendant une heure, la Roma refaisait surface sur coup de pied arrêté grâce à Vucinic (64e) et Baptista (71e), ce dernier crucifiant les Girondins à la 83e.
Dans l'autre match du groupe A, Cluj a tenu tête à Chelsea 0-0.
Avec deux équipes qui étaient loin d'avoir atteint leur plénitude en ce début de saison, le doute était palpable dans les premières minutes. Mais Bordeaux se faisait violence et cherchait vite à emballer le match avec Gourcuff et Obertan. Lancé plein axe suite à un une-deux avec Chamakh, Jussiê se retrouvait en bonne position de tir mais Doni veillait (9e). Pas plein, Chaban-Delmas accompagnait ses joueurs. Il en était récompensé. Décalé par Chamakh, Jussiê servait Gourcuff. Sa prise de balle était parfaite. Son tir enroulé était mieux que ça et trouvait le petit filet de Doni. Du grand art (1-0, 19e) ! Blanc devait apprécier le bon début de ses troupes, eux qui avaient raté leur première mi-temps face à St-Etienne. Pas dans son assiette, la Roma ne réagissait que sur un coup franc. Celui lointain de Riise ne donnait rien (26e). Malheureusement, la sérénité bordelaise prenait du plomb dans l'aile. En deux minutes, Jussiê se blessait et Henrique écopait d'un carton rouge pour un mauvais geste. Il avait le tort de répondre à la provocation des Italiens. Contraint de s'adapter, Blanc remplaçait alors Jussiê par Wendel et Obertan par Planus. Et même à dix, ce sont les Girondins qui se montraient les plus dangereux comme sur cette tête de Wendel (45e+1).
Sans Totti, la Roma faisait peine à voir. Les ballons étaient fuyants, les têtes basses. Du coup, on s'ennuyait ferme pendant cette deuxième mi-temps. Ce n'était pas pour déplaire aux Bordelais, bien campés sur leur base. Mais on n'est jamais à l'abri d'un coup de pied arrêté …ou deux. Sur un corner, Vucinic égalisait de la tête (1-1, 64e) avant une merveille de coup franc de Baptista qui laissait Valverde sans réaction (1-2, 71e). Hold-up ou leçon de réalisme, ça ne changeait pas grand-chose… Mais que c'était dur pour les Girondins qui maîtrisaient parfaitement la rencontre. Ils n'allaient pas s'en remettre. Bien au contraire, ils sombraient. Idéalement servi par Vucinic, Okaka ratait le KO (76e), pas Baptista qui se jetait sur un centre en première intention de Taddei (1-3, 83e). Cruelle Ligue des champions qui ne laisse pas de place au hasard. Apathiques pendant une heure, les Romains ont fait le dos rond avant de profiter des maigres occasions qu'ils ont eu. Et les voilà relancés pour la qualification d'autant que Cluj et Chelsea ont fait nul 0-0. En revanche, Bordeaux aura du mal à se relever de ces deux défaites initiales, y compris pour se raccrocher à la coupe UEFA.
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