Bugaled Breizh: une nouvelle demande
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Bugaled Breizh: une nouvelle demande
Les familles des marins disparus dans le naufrage du chalutier demandent de nouvelles investigations
Elles vont ainsi réclamé aux juges d'instruction que soient vérifiées les positions de tous les sous-marins nucléaires d'attaque le jour du drame, a annoncé samedi un de leurs avocats.
Le 31 juillet, les deux premiers juges d'instruction avaient indiqué que l'hypothèse d'un naufrage à cause de la présence d'un SNA était "hautement probable".
Mais les deux magistrat ont déposé en août un avis de fin d'instruction, avant leur départ du tribunal de Quimper. Les parties civiles ont jusqu'au 19 novembre pour demander de nouvelles investigations aux magistrats qui ont repris le dossier.
"Les juges doivent demander à la France la position de ses SNA le jour du naufrage et on va demander des commissions rogatoires vers les pays qui en disposent: la Grande-Bretagne, les Etats-Unis, la Russie et pourquoi pas la Chine", a déclaré à la presse Me Christian Bergot, à l'issue d'une réunion avec les parties civiles.
"Nous avons fait 90 % du chemin vers la vérité, il ne faut pas arrêter les investigations", a ajouté le défenseur. Il a précisé qu'il demanderait la semaine prochaine aux magistrats d'entendre des responsables qui n'ont pas été auditionnés. Notamment le chef d'état-major de la Marine à l'époque des faits et la ministre de la Défense de l'époque, Michèle Alliot-Marie.
Le 15 janvier 2004, le Bugaled Breizh, chalutier de Loctudy (Finistère), avait coulé avec ses cinq marins au large de l'Angleterre, dans une zone ou se déroulaient des exercices de l'OTAN et de la marine britannique. Depuis le début de l'enquête, les parties civiles, familles, armateur et comité des pêches du Guilvinec, sont persuadées de l'implication d'un sous-marin dans le naufrage du chalutier.
Mais en novembre 2006, le Bureau enquête accidents-Mer a conclu à un accident de pêche. En avril, la procureure de la République de Quimper a déposé, peu avant son départ du tribunal, des conclusions écartant la thèse du sous-marin au profit de l'accident de pêche.
Elles vont ainsi réclamé aux juges d'instruction que soient vérifiées les positions de tous les sous-marins nucléaires d'attaque le jour du drame, a annoncé samedi un de leurs avocats.
Le 31 juillet, les deux premiers juges d'instruction avaient indiqué que l'hypothèse d'un naufrage à cause de la présence d'un SNA était "hautement probable".
Mais les deux magistrat ont déposé en août un avis de fin d'instruction, avant leur départ du tribunal de Quimper. Les parties civiles ont jusqu'au 19 novembre pour demander de nouvelles investigations aux magistrats qui ont repris le dossier.
"Les juges doivent demander à la France la position de ses SNA le jour du naufrage et on va demander des commissions rogatoires vers les pays qui en disposent: la Grande-Bretagne, les Etats-Unis, la Russie et pourquoi pas la Chine", a déclaré à la presse Me Christian Bergot, à l'issue d'une réunion avec les parties civiles.
"Nous avons fait 90 % du chemin vers la vérité, il ne faut pas arrêter les investigations", a ajouté le défenseur. Il a précisé qu'il demanderait la semaine prochaine aux magistrats d'entendre des responsables qui n'ont pas été auditionnés. Notamment le chef d'état-major de la Marine à l'époque des faits et la ministre de la Défense de l'époque, Michèle Alliot-Marie.
Le 15 janvier 2004, le Bugaled Breizh, chalutier de Loctudy (Finistère), avait coulé avec ses cinq marins au large de l'Angleterre, dans une zone ou se déroulaient des exercices de l'OTAN et de la marine britannique. Depuis le début de l'enquête, les parties civiles, familles, armateur et comité des pêches du Guilvinec, sont persuadées de l'implication d'un sous-marin dans le naufrage du chalutier.
Mais en novembre 2006, le Bureau enquête accidents-Mer a conclu à un accident de pêche. En avril, la procureure de la République de Quimper a déposé, peu avant son départ du tribunal, des conclusions écartant la thèse du sous-marin au profit de l'accident de pêche.
Frodon- Nounou d'enfer
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Re: Bugaled Breizh: une nouvelle demande
je sais aps si on saurais vraiment la verité
ils se retranche toujours sontle coup u secret militaire
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