Une votation citoyenne sur l'avenir de la Poste
Une votation citoyenne sur l'avenir de la Poste
Le Comité national contre la privatisation de la Poste a lancé ce week-end une "votation citoyenne"
Tous les Français sont invités à se prononcer, de lundi à samedi, pour ou contre la privatisation de la Poste. Le vote n'a pas de valeur juridique mais doit permettre, selon ses organisateurs, de lancer un message au gouvernement.
La consultation a débuté samedi en avant-première nationale à Thionville (Moselle).
Le Comité national contre la privatisation de la Poste (CNCPP) regroupe 62 partis, syndicats, organisations et associations et fédère 80 comités départementaux. Il est soutenu notamment par le PS, le PCF, les Verts, le NPA, Attac, la Confédération paysanne et de nombreux syndicats de la Poste. Le collectif estime que la transformation de la Poste en société anonyme à capitaux publics conduira à sa "privatisation". La ministre de l'Economie Christine Lagarde assure au contraire qu'il "pas question de privatiser" tout en excluant que le projet du gouvernement puisse faire l'objet d'un référendum.
La votation citoyenne doit permettre d'"envoyer un message au gouvernement pour la tenue d'un référendum d'initiative populaire sur la réforme du statut de la Poste", a expliqué Gilbert Nucera, l'un des responsables nationaux du CNCPP. Le référendum d'initiative populaire est en effet prévu par la nouvelle Constitution, mais une loi organique en fixant les modalités doit d'abord être votée dans les prochaines semaines.
"Les bulletins seront acheminés gratuitement à l'Elysée qui pourra vérifier la validité du dépouillement", a expliqué Gilbert Nucera. Sur ceux-ci, on peut lire "Je vote oui à la privatisation de la Poste" et "Je vote non à la privatisation de la Poste".
Les bureaux de vote sont installés par centaines dans les bureaux de poste, les mairies des communes rurales, les marchés ou les gares.
Le PS a accusé samedi le gouvernement de chercher à empêcher les "votations" avec des référés administratifs. Selon le porte-parole du PS, Benoît Hamon, des référés ont été introduits, notamment dans l'Isère (où 108 communes seraient concernées) et le Gard, contre des délibérations de conseils municipaux visant à organiser le scrutin.
Tous les Français sont invités à se prononcer, de lundi à samedi, pour ou contre la privatisation de la Poste. Le vote n'a pas de valeur juridique mais doit permettre, selon ses organisateurs, de lancer un message au gouvernement.
La consultation a débuté samedi en avant-première nationale à Thionville (Moselle).
Le Comité national contre la privatisation de la Poste (CNCPP) regroupe 62 partis, syndicats, organisations et associations et fédère 80 comités départementaux. Il est soutenu notamment par le PS, le PCF, les Verts, le NPA, Attac, la Confédération paysanne et de nombreux syndicats de la Poste. Le collectif estime que la transformation de la Poste en société anonyme à capitaux publics conduira à sa "privatisation". La ministre de l'Economie Christine Lagarde assure au contraire qu'il "pas question de privatiser" tout en excluant que le projet du gouvernement puisse faire l'objet d'un référendum.
La votation citoyenne doit permettre d'"envoyer un message au gouvernement pour la tenue d'un référendum d'initiative populaire sur la réforme du statut de la Poste", a expliqué Gilbert Nucera, l'un des responsables nationaux du CNCPP. Le référendum d'initiative populaire est en effet prévu par la nouvelle Constitution, mais une loi organique en fixant les modalités doit d'abord être votée dans les prochaines semaines.
"Les bulletins seront acheminés gratuitement à l'Elysée qui pourra vérifier la validité du dépouillement", a expliqué Gilbert Nucera. Sur ceux-ci, on peut lire "Je vote oui à la privatisation de la Poste" et "Je vote non à la privatisation de la Poste".
Les bureaux de vote sont installés par centaines dans les bureaux de poste, les mairies des communes rurales, les marchés ou les gares.
Le PS a accusé samedi le gouvernement de chercher à empêcher les "votations" avec des référés administratifs. Selon le porte-parole du PS, Benoît Hamon, des référés ont été introduits, notamment dans l'Isère (où 108 communes seraient concernées) et le Gard, contre des délibérations de conseils municipaux visant à organiser le scrutin.
Frodon- Nounou d'enfer
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