Jean-Pierre Treiber s'est pendu dans sa cellule
Jean-Pierre Treiber s'est pendu dans sa cellule
Jean-Pierre Treiber s'est pendu samedi matin dans sa cellule de la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne)
Accusé du double meurtre de Géraldine Giraud et Katia Lherbier en 2004, il devait être jugé dans deux mois.
Son corps a été découvert par des surveillants de la prison à 7h, à l'occasion d'une ronde, alors que rien d'anormal n'avait été constaté à la ronde précédente, à 6 h, a annoncé le ministère de la Justice.
"Il a été découvert pendu", a déclaré Guillaume Didier, le porte-parole de la Chancellerie, ajoutant que l'enquête devra déterminer la manière dont il a procédé. Jean-Pierre Treiber était seul en cellule, dans un quartier d'isolement, car il faisait l'objet d'une "surveillance renforcée", notamment en raison de sa récente évasion, a-t-il précisé.
Une enquête judiciaire a été ouverte et la ministre de la Justice Michèle Alliot-Marie a ordonné une enquête administrative après le suicide de Jean-Pierre Treiber. Des enquêteurs de l'administration pénitentiaire devaient se rendre sur place immédiatement.
Jean-Pierre Treiber, qui a toujours clamé son innocence, devait être jugé fin avril début mai par la cour d'assises de l'Yonne pour le double meurtre de Géraldine Giraud et de son amie Katia Lherbier, dont les corps avaient été retrouvés au fond d'un puisard dans sa propriété de Villeneuve-sur-Yonne (Yonne). Son suicide met fin à l'action de la justice.
Jean-Pierre Treiber s'était évadé le 8 septembre de la maison d'arrêt d'Auxerre et avait été repris le 20 novembre à Melun, au terme d'une cavale rocambolesque et très médiatisée. Il était incarcéré à Fleury-Mérogis depuis.
En décembre, lors de son audition devant un juge d'instruction d'Auxerre, Jean-Pierre Treiber avait expliqué les motifs de son évasion, avait raconté son avocat Me Eric Dupond-Moretti. "Il s'est expliqué sur la façon dont il s'est évadé, sur ses motivations, indiquant notamment: 'C'était ça ou je m'accrochais'", avait détaillé l'avocat, évoquant un projet suicidaire que Jean-Pierre Treiber aurait mûri en prison.
Rappel de l'affaire
Géraldine Giraud, 36 ans, fille du comédien Roland Giraud, qui séjournait dans la résidence familiale de La Postolle (Yonne), et son amie Katia Lherbier, 32 ans, avaient disparu le 1er novembre 2004.
Le 9 décembre, leurs corps étaient découverts au fond d'un puisard dans le jardin de Jean-Pierre Treiber. Celui-ci avait été interpellé en possession de leurs cartes bancaires.
Bénéficiant d'un poste de contremaître à l'atelier, Jean-Pierre Treiber avait pu s'évader de la prison d'Auxerre en septembre. Il s'était caché dans un carton transporté hors de la prison par le camion d'une entreprise. Son évasion n'avait été découverte qu'au bout d'une journée. Pendant sa fuite, Jean-Pierre Treiber avait envoyé plusieurs lettres à des journaux et à son amie où il se disait innocent et livrait des récits détaillés de sa supposée existence dans les bois. Le manège avait duré 74 jours, avant que Jean-Pierre Treiber soit finalement retrouvé dans un appartement du centre-ville de Melun. Trois hommes et une femme soupçonnés de l'avoir aidé ou hébergé durant sa fuite ont été mis en examen.
La tante de Géraldine Giraud, Marie-Christine Van Kempen, soupçonnée dans un premier temps d'avoir commandité le double meurtre, a été mise hors de cause. Jean-Pierre Treiber restait l'unique accusé du double assassinat.
Accusé du double meurtre de Géraldine Giraud et Katia Lherbier en 2004, il devait être jugé dans deux mois.
Son corps a été découvert par des surveillants de la prison à 7h, à l'occasion d'une ronde, alors que rien d'anormal n'avait été constaté à la ronde précédente, à 6 h, a annoncé le ministère de la Justice.
"Il a été découvert pendu", a déclaré Guillaume Didier, le porte-parole de la Chancellerie, ajoutant que l'enquête devra déterminer la manière dont il a procédé. Jean-Pierre Treiber était seul en cellule, dans un quartier d'isolement, car il faisait l'objet d'une "surveillance renforcée", notamment en raison de sa récente évasion, a-t-il précisé.
Une enquête judiciaire a été ouverte et la ministre de la Justice Michèle Alliot-Marie a ordonné une enquête administrative après le suicide de Jean-Pierre Treiber. Des enquêteurs de l'administration pénitentiaire devaient se rendre sur place immédiatement.
Jean-Pierre Treiber, qui a toujours clamé son innocence, devait être jugé fin avril début mai par la cour d'assises de l'Yonne pour le double meurtre de Géraldine Giraud et de son amie Katia Lherbier, dont les corps avaient été retrouvés au fond d'un puisard dans sa propriété de Villeneuve-sur-Yonne (Yonne). Son suicide met fin à l'action de la justice.
Jean-Pierre Treiber s'était évadé le 8 septembre de la maison d'arrêt d'Auxerre et avait été repris le 20 novembre à Melun, au terme d'une cavale rocambolesque et très médiatisée. Il était incarcéré à Fleury-Mérogis depuis.
En décembre, lors de son audition devant un juge d'instruction d'Auxerre, Jean-Pierre Treiber avait expliqué les motifs de son évasion, avait raconté son avocat Me Eric Dupond-Moretti. "Il s'est expliqué sur la façon dont il s'est évadé, sur ses motivations, indiquant notamment: 'C'était ça ou je m'accrochais'", avait détaillé l'avocat, évoquant un projet suicidaire que Jean-Pierre Treiber aurait mûri en prison.
Rappel de l'affaire
Géraldine Giraud, 36 ans, fille du comédien Roland Giraud, qui séjournait dans la résidence familiale de La Postolle (Yonne), et son amie Katia Lherbier, 32 ans, avaient disparu le 1er novembre 2004.
Le 9 décembre, leurs corps étaient découverts au fond d'un puisard dans le jardin de Jean-Pierre Treiber. Celui-ci avait été interpellé en possession de leurs cartes bancaires.
Bénéficiant d'un poste de contremaître à l'atelier, Jean-Pierre Treiber avait pu s'évader de la prison d'Auxerre en septembre. Il s'était caché dans un carton transporté hors de la prison par le camion d'une entreprise. Son évasion n'avait été découverte qu'au bout d'une journée. Pendant sa fuite, Jean-Pierre Treiber avait envoyé plusieurs lettres à des journaux et à son amie où il se disait innocent et livrait des récits détaillés de sa supposée existence dans les bois. Le manège avait duré 74 jours, avant que Jean-Pierre Treiber soit finalement retrouvé dans un appartement du centre-ville de Melun. Trois hommes et une femme soupçonnés de l'avoir aidé ou hébergé durant sa fuite ont été mis en examen.
La tante de Géraldine Giraud, Marie-Christine Van Kempen, soupçonnée dans un premier temps d'avoir commandité le double meurtre, a été mise hors de cause. Jean-Pierre Treiber restait l'unique accusé du double assassinat.
Frodon- Nounou d'enfer
-
Nombre de messages : 43899
Age : 48
Localisation : Nîmes
Date d'inscription : 05/02/2007
Feuille de personnage
Nom du Personnage: Meriappi Drago
Classe: Roublard
Race: Halfelin
Re: Jean-Pierre Treiber s'est pendu dans sa cellule
Roland Giraud: «Je suis furieux et effondré»
Le père de Géraldine Giraud, une des deux victimes présumées de Jean-Pierre Treiber, revient sur le suicide du détenu...
Le suicide de Jean-Pierre Treiber, découvert samedi matin pendu dans sa cellule de Fleury-Mérogis, clôt l’affaire Giraud-Lherbier d’une manière inattendue. Car en mettant fin à ses jours, le détenu de 46 ans échappe à son procès, qui devait s’ouvrir le 20 avril prochain à Auxerre, et met fin à l’affaire.
«On aura même le pire»
«Je suis furieux et effondré, mais ça ne me rendra pas ma fille, a-t-il expliqué samedi matin au micro d’Europe 1. On aura tout, jusqu'au bout et même le pire. Je ne sais pas s’il y aura un procès, je ne sais ce qui va se passer, je ne pense qu’à ma fille. Je trouve que c’est beaucoup tout ce qui arrive là.»
De son côté, l’avocat de Jean-Pierre Treiber, Me Eric Dupond-Moretti, estime toutefois que son geste n’était pas complètement imprévisible. «Il avait dit à plusieurs reprises qu'il avait le sentiment de ne pas être entendu», a-t-il confié samedi matin à RTL. «Il avait dit au juge d'instruction: "c'est l'évasion ou le suicide"», a-t-il rappelé à l'AFP, précisant que les conditions de détention de l'ex-garde forestier avaient été «nettement durcies» depuis sa réincarcération à la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne), où il était «à l'isolement total». L'avocat a toutefois reconnu ignorer si une faille de la surveillance avait concouru au suicide de son client.
«Pas une surprise»
L'acte de Jean-Pierre Treiber était prémédité, confirme Christophe Gautier, journaliste et co-auteur de L’affaire Giraud, une histoire de femmes, sur France Info. «Lorsqu'il s'est fait reprendre, en novembre dernier, il s'est plu dans le silence, (...) Ses proches se montraient inquiets quant à son état mental, donc non ce n'est pas une suprise», a-t-il déclaré, ajoutant que la mort du détenu était «un scandale» car «le mystère sur le double homicide de Gréaldine Giraud et de Katia Lherbier ne sera jamais élucidé.»
Le père de Géraldine Giraud, une des deux victimes présumées de Jean-Pierre Treiber, revient sur le suicide du détenu...
Le suicide de Jean-Pierre Treiber, découvert samedi matin pendu dans sa cellule de Fleury-Mérogis, clôt l’affaire Giraud-Lherbier d’une manière inattendue. Car en mettant fin à ses jours, le détenu de 46 ans échappe à son procès, qui devait s’ouvrir le 20 avril prochain à Auxerre, et met fin à l’affaire.
«On aura même le pire»
«Je suis furieux et effondré, mais ça ne me rendra pas ma fille, a-t-il expliqué samedi matin au micro d’Europe 1. On aura tout, jusqu'au bout et même le pire. Je ne sais pas s’il y aura un procès, je ne sais ce qui va se passer, je ne pense qu’à ma fille. Je trouve que c’est beaucoup tout ce qui arrive là.»
De son côté, l’avocat de Jean-Pierre Treiber, Me Eric Dupond-Moretti, estime toutefois que son geste n’était pas complètement imprévisible. «Il avait dit à plusieurs reprises qu'il avait le sentiment de ne pas être entendu», a-t-il confié samedi matin à RTL. «Il avait dit au juge d'instruction: "c'est l'évasion ou le suicide"», a-t-il rappelé à l'AFP, précisant que les conditions de détention de l'ex-garde forestier avaient été «nettement durcies» depuis sa réincarcération à la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne), où il était «à l'isolement total». L'avocat a toutefois reconnu ignorer si une faille de la surveillance avait concouru au suicide de son client.
«Pas une surprise»
L'acte de Jean-Pierre Treiber était prémédité, confirme Christophe Gautier, journaliste et co-auteur de L’affaire Giraud, une histoire de femmes, sur France Info. «Lorsqu'il s'est fait reprendre, en novembre dernier, il s'est plu dans le silence, (...) Ses proches se montraient inquiets quant à son état mental, donc non ce n'est pas une suprise», a-t-il déclaré, ajoutant que la mort du détenu était «un scandale» car «le mystère sur le double homicide de Gréaldine Giraud et de Katia Lherbier ne sera jamais élucidé.»
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Re: Jean-Pierre Treiber s'est pendu dans sa cellule
Le suicide de Treiber met fin à l'affaire
Le suicide de Jean-Pierre Treiber samedi met fin à l'action judiciaire dans l'affaire Giraud-Lherbier
Après cinq ans de feuilleton médiatico-judiciaire, l'ultime fuite de Jean-Pierre Treiber, qui devait être jugé en avril pour le double meurtre de Géraldine Giraud et Katia Lherbier, annule le procès.
Avec la mort de l'unique accusé, les circonstances et les mobiles du crime risquent de ne jamais être élucidées.
Jean-Pierre Treiber avait laissé un message avant de se suicider. Dans ce message, Treiber, qui s'est pendu avec un drap, explique en substance qu'il en a "marre" d'être considéré comme un "criminel" et qu'il ne supporte plus de ne plus voir les gens qu'il aime, selon un syndicat pénitentiaire.
Son corps a été découvert par des surveillants de la prison à 7h, à l'occasion d'une ronde, alors que rien d'anormal n'avait été constaté à la ronde précédente, à 6 h, a annoncé le ministère de la Justice. "Il a été découvert pendu", a déclaré Guillaume Didier, le porte-parole de la Chancellerie, ajoutant que l'enquête devra déterminer la manière dont il a procédé. Jean-Pierre Treiber était seul en cellule, dans un quartier d'isolement, car il faisait l'objet d'une "surveillance renforcée", notamment en raison de sa récente évasion, a-t-il précisé.
Une enquête judiciaire a été ouverte et la ministre de la Justice Michèle Alliot-Marie a ordonné une enquête administrative après le suicide de Jean-Pierre Treiber. L'inspection des services pénitentiaires a auditionné les surveillants de fonction. Ces enquêtes devront déterminer si la prise en charge de Treiber en prison, soumis à une "ronde toutes le heures, de jour, comme de nuit", "était adaptée", selon la Chancellerie.
Le corps de Jean-Pierre Treiber sera autopsié dimanche à l'hôpital d'Evry (Essonne) où il a été transfèré samedi. "Il s'agit de déterminer avec précision les causes de sa mort et de procéder à plusieurs prélèvements", a précisé le procureur adjoint du parquet d'Evry, Michel Lernout.
Jean-Pierre Treiber, qui avait toujours clamé son innocence, devait être jugé fin avril début mai par la cour d'assises de l'Yonne pour le double meurtre de Géraldine Giraud et de son amie Katia Lherbier, dont les corps avaient été retrouvés au fond d'un puisard dans sa propriété de Villeneuve-sur-Yonne (Yonne). Son suicide met fin à l'action de la justice.
Jean-Pierre Treiber s'était évadé le 8 septembre de la maison d'arrêt d'Auxerre et avait été repris le 20 novembre à Melun, au terme d'une cavale rocambolesque et très médiatisée. Il était incarcéré à Fleury-Mérogis depuis.
Roland Giraud, le père de Géraldine Giraud, s'est dit "furieux et effondré" à l'annonce de la nouvelle, sur les ondes d'Europe 1. "Ca ne me rendra pas ma fille", a-t-il ajouté, plus tard, dans une interview exclusive à France 2.
L'avocat des deux victimes, Me Francis Szpiner, a estimé que Jean-Pierre Treiber avait "avoué par son suicide". "Il y aura une immense frustration, il n'y aura pas de procès, certaines zones d'ombre du dossier ne seront jamais éclaircies et puis en même temps c'est la fin de l'affaire même si c'est une fin brutale, inattendue", a-t-il ajouté.
"Je m'y attendais depuis longtemps", a confié sur RTL la soeur de Treiber, Paulette Stoëcklen, à propos de ce suicide.
Le suicide de Jean-Pierre Treiber samedi met fin à l'action judiciaire dans l'affaire Giraud-Lherbier
Après cinq ans de feuilleton médiatico-judiciaire, l'ultime fuite de Jean-Pierre Treiber, qui devait être jugé en avril pour le double meurtre de Géraldine Giraud et Katia Lherbier, annule le procès.
Avec la mort de l'unique accusé, les circonstances et les mobiles du crime risquent de ne jamais être élucidées.
Jean-Pierre Treiber avait laissé un message avant de se suicider. Dans ce message, Treiber, qui s'est pendu avec un drap, explique en substance qu'il en a "marre" d'être considéré comme un "criminel" et qu'il ne supporte plus de ne plus voir les gens qu'il aime, selon un syndicat pénitentiaire.
Son corps a été découvert par des surveillants de la prison à 7h, à l'occasion d'une ronde, alors que rien d'anormal n'avait été constaté à la ronde précédente, à 6 h, a annoncé le ministère de la Justice. "Il a été découvert pendu", a déclaré Guillaume Didier, le porte-parole de la Chancellerie, ajoutant que l'enquête devra déterminer la manière dont il a procédé. Jean-Pierre Treiber était seul en cellule, dans un quartier d'isolement, car il faisait l'objet d'une "surveillance renforcée", notamment en raison de sa récente évasion, a-t-il précisé.
Une enquête judiciaire a été ouverte et la ministre de la Justice Michèle Alliot-Marie a ordonné une enquête administrative après le suicide de Jean-Pierre Treiber. L'inspection des services pénitentiaires a auditionné les surveillants de fonction. Ces enquêtes devront déterminer si la prise en charge de Treiber en prison, soumis à une "ronde toutes le heures, de jour, comme de nuit", "était adaptée", selon la Chancellerie.
Le corps de Jean-Pierre Treiber sera autopsié dimanche à l'hôpital d'Evry (Essonne) où il a été transfèré samedi. "Il s'agit de déterminer avec précision les causes de sa mort et de procéder à plusieurs prélèvements", a précisé le procureur adjoint du parquet d'Evry, Michel Lernout.
Jean-Pierre Treiber, qui avait toujours clamé son innocence, devait être jugé fin avril début mai par la cour d'assises de l'Yonne pour le double meurtre de Géraldine Giraud et de son amie Katia Lherbier, dont les corps avaient été retrouvés au fond d'un puisard dans sa propriété de Villeneuve-sur-Yonne (Yonne). Son suicide met fin à l'action de la justice.
Jean-Pierre Treiber s'était évadé le 8 septembre de la maison d'arrêt d'Auxerre et avait été repris le 20 novembre à Melun, au terme d'une cavale rocambolesque et très médiatisée. Il était incarcéré à Fleury-Mérogis depuis.
Roland Giraud, le père de Géraldine Giraud, s'est dit "furieux et effondré" à l'annonce de la nouvelle, sur les ondes d'Europe 1. "Ca ne me rendra pas ma fille", a-t-il ajouté, plus tard, dans une interview exclusive à France 2.
L'avocat des deux victimes, Me Francis Szpiner, a estimé que Jean-Pierre Treiber avait "avoué par son suicide". "Il y aura une immense frustration, il n'y aura pas de procès, certaines zones d'ombre du dossier ne seront jamais éclaircies et puis en même temps c'est la fin de l'affaire même si c'est une fin brutale, inattendue", a-t-il ajouté.
"Je m'y attendais depuis longtemps", a confié sur RTL la soeur de Treiber, Paulette Stoëcklen, à propos de ce suicide.
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