Nouvelle affaire de garde d'enfant entre le Canada et la Fra
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Nouvelle affaire de garde d'enfant entre le Canada et la Fra
Cette affaire n'est pas similaire, mais rappelle l'histoire de Nathalie Gettliffe qui se passe également entre le Canada et la France. Samedi, Katia Sanchez a été convoquée au commissariat d'Albi pour que sa fillette de 6 ans puisse être remise à son père, Français vivant à Montréal, sur réquisition du procureur de la République d'Albi conformément à une procédure judiciaire engagée au Canada.
Katia Sanchez affirme qu'elle avait été convoquée pour une "simple audition administrative" et qu'on lui a "retiré de force son enfant pour le remettre à son père qui ne s'en occupait plus depuis plusieurs mois". "J'ai été enfermée dans une pièce et maintenue de force sur une chaise après que l'on m'ait arraché ma petite fille pour la remettre à son père caché dans une autre pièce alors que l'on m'avait affirmé qu'il n'était pas présent", a-t-elle assuré, dénonçant "un véritable enlèvement officiel".
La mère " n'a pas tenu ses promesses"
Le couple et la fillette, tous trois de nationalité française, s'étaient installés au Québec. Mais après un an et demi de vie commune ils s'étaient séparés et Katia Sanchez, 43 ans, avait quitté son poste d'enseignante à l'université de Montréal pour revenir en France avec sa fille. Le 30 janvier 2006, la justice canadienne a décidé de donner la garde de l'enfant au père. La mère a déposé un recours devant une juridiction française, qui lui a accordé la garde de l'enfant en première instance. Cette décision ayant été annulée en appel, l'affaire est aujourd'hui en cassation, ce qui ne rend pas pour autant suspensive la décision de la justice canadienne.
"Sept fois de suite la maman a refusé la main que nous lui avons tendue pour que cette affaire de parents séparés s'arrange entre gens raisonnables", a déclaré Jean Christophe Muller, procureur de la République à Albi. "Nous lui avons dit à de multiples reprises qu'elle était dans son tort, qu'il fallait que sa fille retrouve son père et qu'elle finisse la procédure au Canada en se rendant au Québec devant le juge aux affaires familiales pour qu'elle puisse s'expliquer. Elle a bien dit qu'elle s'y rendrait mais elle n'a pas tenu ses promesses", a-t-il regretté.
Katia Sanchez affirme qu'elle avait été convoquée pour une "simple audition administrative" et qu'on lui a "retiré de force son enfant pour le remettre à son père qui ne s'en occupait plus depuis plusieurs mois". "J'ai été enfermée dans une pièce et maintenue de force sur une chaise après que l'on m'ait arraché ma petite fille pour la remettre à son père caché dans une autre pièce alors que l'on m'avait affirmé qu'il n'était pas présent", a-t-elle assuré, dénonçant "un véritable enlèvement officiel".
La mère " n'a pas tenu ses promesses"
Le couple et la fillette, tous trois de nationalité française, s'étaient installés au Québec. Mais après un an et demi de vie commune ils s'étaient séparés et Katia Sanchez, 43 ans, avait quitté son poste d'enseignante à l'université de Montréal pour revenir en France avec sa fille. Le 30 janvier 2006, la justice canadienne a décidé de donner la garde de l'enfant au père. La mère a déposé un recours devant une juridiction française, qui lui a accordé la garde de l'enfant en première instance. Cette décision ayant été annulée en appel, l'affaire est aujourd'hui en cassation, ce qui ne rend pas pour autant suspensive la décision de la justice canadienne.
"Sept fois de suite la maman a refusé la main que nous lui avons tendue pour que cette affaire de parents séparés s'arrange entre gens raisonnables", a déclaré Jean Christophe Muller, procureur de la République à Albi. "Nous lui avons dit à de multiples reprises qu'elle était dans son tort, qu'il fallait que sa fille retrouve son père et qu'elle finisse la procédure au Canada en se rendant au Québec devant le juge aux affaires familiales pour qu'elle puisse s'expliquer. Elle a bien dit qu'elle s'y rendrait mais elle n'a pas tenu ses promesses", a-t-il regretté.
Soso- Bras droit du Chef invisible
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Re: Nouvelle affaire de garde d'enfant entre le Canada et la Fra
on ne connait pas tous les tenants et aboutissants de cette histoire : pourquoi la justice québecoise à voulu confier la garde au père ? est-ce seulement parce qu'il était québécois et que la justice à fait un peu de "racisme" en favorisant un des leurs ? est-ce que la mère était violente ? incapable de s'occuper de sa fille ? ou bien, tout comme pour Getliffe, le père était rattaché à une secte qui, sans qu'on puiisse le savoir, possède le "bras long" ?
Dans ce cas, et peut-être s'inspirant des déboire de Mme Getliffe, cette femme à jugé préférable de ne pas se rendre au Québec pour une soi-disant conciliation sentant qu'un piège pouvait se refermer sur elle ??
Pour ma part, je ressens cette histoire de façon lugubre, pour le peu que j'en sais, car pour que la garde soit confiée à un père, il faut un dossier en béton contre la mère, hors l'information présente ne cite pas les griefs retenus contre les 2 partis... et une femme qui semble fuir un mari pour protéger un enfant, ça s'est déjà vu : la mère défend corps et âme et contre la justice humaine sa progéniture,
et puis cette façon de mentir dela part de la justice française n'est pas digne d'un protocole juridique décent et mené de façon intelligible : d'après ce que je comprend, cette pauvre femme n'a même pas eu l'occasion de se protéger, de protester, ni de défendre ce qu'elle à semblé vouloir protéger en se rendant en France et en ignorant les injonctions de la justice québécoise !!!
cette mise en scène de la justice française est proprement scandaleuse : ils auraient dû avant tout chercher à les protéger : mère et enfant en essayant de comprendre d'abord les motifs de la mère, et puis ensuite, entendre le père, puis enfin se décider à rendre un verdict définitif ....
La police Française se ferait-elle brigante à son tour ???
Dans ce cas, et peut-être s'inspirant des déboire de Mme Getliffe, cette femme à jugé préférable de ne pas se rendre au Québec pour une soi-disant conciliation sentant qu'un piège pouvait se refermer sur elle ??
Pour ma part, je ressens cette histoire de façon lugubre, pour le peu que j'en sais, car pour que la garde soit confiée à un père, il faut un dossier en béton contre la mère, hors l'information présente ne cite pas les griefs retenus contre les 2 partis... et une femme qui semble fuir un mari pour protéger un enfant, ça s'est déjà vu : la mère défend corps et âme et contre la justice humaine sa progéniture,
et puis cette façon de mentir dela part de la justice française n'est pas digne d'un protocole juridique décent et mené de façon intelligible : d'après ce que je comprend, cette pauvre femme n'a même pas eu l'occasion de se protéger, de protester, ni de défendre ce qu'elle à semblé vouloir protéger en se rendant en France et en ignorant les injonctions de la justice québécoise !!!
cette mise en scène de la justice française est proprement scandaleuse : ils auraient dû avant tout chercher à les protéger : mère et enfant en essayant de comprendre d'abord les motifs de la mère, et puis ensuite, entendre le père, puis enfin se décider à rendre un verdict définitif ....
La police Française se ferait-elle brigante à son tour ???
Saphire- Invité
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