Nouvelle affaire embarrassante pour Mitterrand
Nouvelle affaire embarrassante pour Mitterrand
Le ministre de la Culture a du s'expliquer vendredi sur un témoignage de moralité apporté à deux hommes accusés de viol
Et de deux. Après la polémique sur son ouvrage "La mauvaise Vie", Frédéric Mitterrand est de nouveau amené à se défendre dans une autre affaire l'impliquant.
Le neveu de l'ancien président de la République est mis en cause à La Réunion où il s'est porté témoin de moralité des parents de deux jeunes, dont son filleul, accusés et condamnés pour viol.
"Je ne supporte plus ses attaques", affirme Frédéric Mitterrand dans un entretien accordé au Journal du Dimanche à paraître samedi. "C'est immonde !"
"Il s'agit d'une chose simple que je peux très facilement expliquer. J'ai apporté mon témoignage sur la moralité d'une famille, celle de mon ancienne maquilleuse sur France 2. Il y a des années, elle m'avait demandé d'être le parrain de son fils qui porte mon prénom".
"Je suis indigné que l'on vienne me chercher sur cette affaire-là. C'est dégueulasse", s'insurge-t-il. "Ce que l'on me fait est honteux. Depuis que je suis arrivé au ministère de la Culture, j'agis. Il y a eu notamment la loi Hadopi. On veut sans doute me le faire payer".
Dans un courrier que s'est procuré Le Quotidien de la Réunion et publié vendredi, l'ancien directeur de la Villa Medicis explique que les deux jeunes gens qui sont frères, condamnés en mars par la cour d'assises des mineurs de Saint-Denis, ont été élevés avec "beaucoup de soin, d'attention et d'amour".
Dans cette lettre à l'en-tête de l'Académie de France à Rome, Frédéric Mitterrand précise que la famille des deux jeunes est constituée de "personnes d'une parfaite moralité et fort honorables".
Intervenant en tant que directeur de la Villa Medicis, Frédéric Mitterrand se déclare prêt à aider les deux jeunes à se réinsérer. "Je m'engage personnellement à faciliter toute mesure de réinsertion qui pourrait être prise en considération, tant à Paris qu'à Rome, au sein de l'établissement public que je dirige et sous la forme de stages de formation", écrit-il, ajoutant disposer de contacts qui pourraient "être mis à profit".
Répondant dans les colonnes du JDD, le ministre précise avoir vu son filleul seulement "cinq fois dans sa vie". "Je n'en sais pas plus. Je me suis occupé de cette femme et de son fils comme je me suis occupé d'autres personnes dans ma vie qui avaient besoin de moi", indique-t-il.
Le ministre déclare ne pas être "parano" mais juge que s'il s'appelait Tartampion, il ne subirait pas "les mêmes indignités".
Et de deux. Après la polémique sur son ouvrage "La mauvaise Vie", Frédéric Mitterrand est de nouveau amené à se défendre dans une autre affaire l'impliquant.
Le neveu de l'ancien président de la République est mis en cause à La Réunion où il s'est porté témoin de moralité des parents de deux jeunes, dont son filleul, accusés et condamnés pour viol.
"Je ne supporte plus ses attaques", affirme Frédéric Mitterrand dans un entretien accordé au Journal du Dimanche à paraître samedi. "C'est immonde !"
"Il s'agit d'une chose simple que je peux très facilement expliquer. J'ai apporté mon témoignage sur la moralité d'une famille, celle de mon ancienne maquilleuse sur France 2. Il y a des années, elle m'avait demandé d'être le parrain de son fils qui porte mon prénom".
"Je suis indigné que l'on vienne me chercher sur cette affaire-là. C'est dégueulasse", s'insurge-t-il. "Ce que l'on me fait est honteux. Depuis que je suis arrivé au ministère de la Culture, j'agis. Il y a eu notamment la loi Hadopi. On veut sans doute me le faire payer".
Dans un courrier que s'est procuré Le Quotidien de la Réunion et publié vendredi, l'ancien directeur de la Villa Medicis explique que les deux jeunes gens qui sont frères, condamnés en mars par la cour d'assises des mineurs de Saint-Denis, ont été élevés avec "beaucoup de soin, d'attention et d'amour".
Dans cette lettre à l'en-tête de l'Académie de France à Rome, Frédéric Mitterrand précise que la famille des deux jeunes est constituée de "personnes d'une parfaite moralité et fort honorables".
Intervenant en tant que directeur de la Villa Medicis, Frédéric Mitterrand se déclare prêt à aider les deux jeunes à se réinsérer. "Je m'engage personnellement à faciliter toute mesure de réinsertion qui pourrait être prise en considération, tant à Paris qu'à Rome, au sein de l'établissement public que je dirige et sous la forme de stages de formation", écrit-il, ajoutant disposer de contacts qui pourraient "être mis à profit".
Répondant dans les colonnes du JDD, le ministre précise avoir vu son filleul seulement "cinq fois dans sa vie". "Je n'en sais pas plus. Je me suis occupé de cette femme et de son fils comme je me suis occupé d'autres personnes dans ma vie qui avaient besoin de moi", indique-t-il.
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Frodon- Nounou d'enfer
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